1 élu en europe.

Libertas a présenté 531 candidats dans 14 pays. Declan Ganley, remarqué pour sa campagne offensive contre le traité de Lisbonne l’année dernière en Irlande, a indiqué que la campagne européenne lui aurait coûté 30 millions d’euros. Le nouveau parti constitué contre la ratification du traité de Lisbonne ne peut revendiquer qu’un seul élu lundi : Philippe de Villiers. Hormis l’élu du Mouvement pour la France, Libertas n’est pas parvenu à envoyer d’autre député européen à Strasbourg.

Le propre sort de Declan Ganley était encore incertain lundi après-midi dans sa circonscription de l’ouest de l’Irlande, où l’on procédait à un nouveau comptage. On s’attendait cependant à ce que sa défaite soit confirmée.

Chère Madame,
Cher Monsieur,
Chers amis,


Les résultats de ces élections européennes sont une mauvaise nouvelle pour l’avenir.
Est-ce suffisant pour s’effondrer ? Est- ce le temps de désespérer et de se lamenter ?
Pas question. Il faut résister.
Devant vous, je m’engage, malgré ma peine, à continuer le combat pour défendre nos convictions. Pour défendre notre droit à aimer la France.

Pour cela, j’ai besoin de vous. J’ai besoin de savoir que vous me soutenez.

Mais il nous faut d’abord finir de payer cette campagne électorale.
Elle nous a beaucoup coûté. Dans tous les sens du terme. C’est d’abord le coût du courage de la vérité.
Face à l’accord profond du cartel du « oui » (UMP-PS-Modem et Europe Ecologie) pour empêcher le débat politique, il nous a fallu investir sur le terrain pour compenser l’absence du débat médiatique.

Aujourd’hui, il nous faut finir de payer cette campagne.

Si chacun d’entre vous accepte de nous aider avec un don de 10 euros, l’intégralité du solde de la campagne sera financé.
Oui, votre don en ligne participera à nous faire repartir d’un bon pied. C’est à ce dernier effort que je vous demande de contribuer dès que possible.

D’avance, au nom de tous les candidats, de toute l’équipe de campagne, de tous les jeunes militants qui se sont impliqués, je vous remercie pour votre fidélité, et je vous prie d’être certains de notre dévouement à défendre nos valeurs,

Très fidèlement,

Philippe de Villiers

Georges a écrit:Devilliers qui fait la manche, il n'a qu'à vendre son chateau.