Ils nous emmerdent!
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les hygiénistes sont-ils
Ils nous emmerdent!
http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2009/02/17/bannir-l-alcool-pour-p…
Faut être con, non? Boire un verre d'alcool (même plus) n'a jamais fait mourir quelqu'un à 50 ans, faut arrêter de délirer! Ces campagnes stupides commencent à m'agacer sérieusement, je sens que je vais aller picoler ce soir moi!
Rappelons aussi aux hygiénistes que vivre, c'est forcément mourir: vivre favorise en effet l'oxydation et donc le vieillissement du corps. Vivre, c'est mortel!
Allez les hygiénistes, suicidez-vous ou faites comme vous voulez, mais foutez-nous la paix!
Perso, je préfère mourir à 80 ans d'un cancer que de me traîner un alzheimer jusqu'à 150 ans...
Faut être con, non? Boire un verre d'alcool (même plus) n'a jamais fait mourir quelqu'un à 50 ans, faut arrêter de délirer! Ces campagnes stupides commencent à m'agacer sérieusement, je sens que je vais aller picoler ce soir moi!
Rappelons aussi aux hygiénistes que vivre, c'est forcément mourir: vivre favorise en effet l'oxydation et donc le vieillissement du corps. Vivre, c'est mortel!
Allez les hygiénistes, suicidez-vous ou faites comme vous voulez, mais foutez-nous la paix!
Perso, je préfère mourir à 80 ans d'un cancer que de me traîner un alzheimer jusqu'à 150 ans...
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
je ne peux accéder à la page que tu as posté Aurélie donc , je ne peux pas répondre a ton sondage .
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
Moi aussi, les hygiénistes m'emmerdent!
shimmy- Président du Conseil Général
- Nombre de messages : 4651
Age : 80
Date d'inscription : 14/01/2008
Re: Ils nous emmerdent!
Je vais faire un c/c alorsfranline a écrit:je ne peux accéder à la page que tu as posté Aurélie donc , je ne peux pas répondre a ton sondage .
Conclusion: ne bouffez rien, ne buvez pas, végétez!Bannir l'alcool pour prévenir le risque de cancer
Dis-moi ce que tu manges et je te dirai... si tu risques davantage d'avoir un cancer. Dans une brochure destinée aux professionnels de santé, et mise en ligne le 17 février, l'Institut national du cancer (INCa) et la direction générale de la santé dressent l'état des connaissances sur les liens entre nutrition et cancer, et listent les facteurs de risque et de protection. "Avec les mesures de prévention que nous présentons, nous pouvons sauver des milliers de vie chaque année", affirme le professeur Dominique Maraninchi, président de l'INCa.
Sur le même sujet
La relation entre les facteurs nutritionnels et les différentes localisations de cancers.
Infographie Comment les aliments influent sur le risque de cancer
Edition abonnés Archive : Les produits bio se démocratisent
Depuis 2004, malgré les progrès en matière de diagnostic et de traitement, les cancers sont devenus la cause la plus fréquente de décès en France : en 2005, 146 000 personnes sont mortes du fait d'un cancer et 320 000 nouveaux cas ont été identifiés. Parmi les différents facteurs pouvant intervenir dans la survenue d'un cancer, l'alimentation joue un rôle désormais bien établi, soit pour favoriser le risque, soit pour s'en protéger. Le succès du livre Anticancer, de David Servan-Schreiber, est là pour témoigner de l'intérêt du public pour ce sujet.
L'INCa s'est appuyé sur l'expertise du réseau NACRe (National Alimentation Cancer Recherche) et sur le rapport élaboré en 2007 par le Fonds mondial de recherche contre le cancer (FMRC) et l'Institut américain pour la recherche sur le cancer. S'inscrivant dans le cadre du Programme national nutrition-santé (PNNS), la brochure dresse l'inventaire des facteurs nutritionnels et des modes de vie sur lesquels il est possible d'agir, tant individuellement que collectivement.
Vive les fruits, les légumes et l'allaitement. La consommation quotidienne d'au moins 5 fruits et légumes variés (au minimum 400 g/jour, sans privilégier un aliment plutôt qu'un autre) et d'aliments riches en fibres diminuent le risque de cancer. Pour éliminer les résidus de pesticides, il faut laver et, éventuellement, peler les fruits et légumes. Pour prévenir le cancer, l'allaitement maternel (si possible exclusif jusqu'à 6 mois) bénéficient à la mère et à l'enfant.
Zéro alcool. L'INCa l'avait déjà formulé dans une expertise collective : il est impossible de définir un niveau de consommation d'alcool qui n'ait pas d'effet sur la santé (Le Monde du 7 janvier 2008). La brochure précise : "L'augmentation de risque est significative dès une consommation moyenne d'un verre par jour." D'où la recommandation : "La consommation d'alcool est déconseillée, quel que soit le type de boisson alcoolisée (vin, bière, spiritueux, etc.)." Il n'est plus question de tolérer deux verres par jour pour les femmes et trois pour les hommes.
Dans l'organisme, le métabolisme de l'éthanol donne des produits provoquant des mutations de l'ADN. "L'important est de ne pas consommer d'alcool, quel qu'il soit, tous les jours. La prévention peut néanmoins rester agréable et s'accommoder d'une consommation festive occasionnelle", précise le professeur Maraninchi.
Pas de kilos superflus. L'objectif est de maintenir un poids normal (indice de masse corporelle - IMC - compris entre 18,5 et 25 kg/m2). Afin de prévenir le surpoids et l'obésité, l'INCa nous recommande de pratiquer, au moins cinq jours par semaine, au moins trente minutes d'activité physique d'intensité modérée (marche rapide) ou trois jours par semaine d'activité d'intensité élevée (jogging), en limitant la sédentarité (ordinateur, télévision, etc.). Une augmentation de l'IMC de 5 points correspond à une hausse du risque de cancer allant de 8 % (sein) à 55 % (oesophage).
Limiter les viandes rouges et les charcuteries. "La consommation de viandes rouges et de charcuteries est associée à une augmentation du risque de cancer colorectal", indique l'INCa. "Le risque de cancer colorectal est augmenté de 29 % par portion de 100 g de viandes rouges consommée par jour et de 21 % par portion de 50 g de charcuteries quotidienne."
Il convient donc de limiter à moins de 500 grammes par semaine la consommation de viandes rouges et de compléter l'apport de protéines en alternant viandes blanches, poissons, oeufs et légumineuses. De plus, mieux vaut limiter la consommation de charcuteries, en particulier celles très grasses ou très salées.
Attention au sel. "La consommation de sel et d'aliments salés augmente le risque de cancer de l'estomac", prévient l'INCa. En France la moyenne des apports journaliers en sel est estimée à 8,5 g/jour, sachant que deux tiers des hommes et un quart des femmes ont des apports dépassant 8 g/j. L'Organisation mondiale de la santé recommande de limiter à un maximum de 5 g/jour les apports quotidiens de sel.
Haro sur les compléments alimentaires à base de bêta-carotène. Présent dans de nombreux fruits et légumes (carottes, choux verts, épinards, abricots...), le bêta-carotène a des propriétés antioxydantes. Bien que les besoins nutritionnels soient facilement couverts par une alimentation "variée et équilibrée", de nombreux compléments alimentaires sont actuellement proposés. "A fortes doses (20 à 30 mg/jour), l'utilisation (de ces compléments) n'a pas d'effet protecteur sur le risque de divers cancers." A l'inverse, leur consommation à de telles doses par des personnes exposées à des cancérogènes comme le tabac "augmente significativement le risque de cancer du poumon".
Sur le Web : www.e-cancer.fr
Paul Benkimoun
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
juste la première phrase est éloquente ! on va bientôt nous nourrir aux capsules vitaminées ...
il me semblait pourtant qu'un verre de vin rouge bordeaux par jour était bon pour la tension . Sont chiants !
tu sais , mon père buvait peu , mangeait bien ni trop gras ni trop salé ...il faisait du sport pour s'entretenir et ....il est mort noyé!
alors bon ...
il me semblait pourtant qu'un verre de vin rouge bordeaux par jour était bon pour la tension . Sont chiants !
tu sais , mon père buvait peu , mangeait bien ni trop gras ni trop salé ...il faisait du sport pour s'entretenir et ....il est mort noyé!
alors bon ...
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
Avec les hygiénistes, il faut faire du sport, mais faut pas que ce soit dangereux non plus, ils se contredisent sans arrêt...
Si on les écoutait, il ne faudrait pas vivre (traverser la rue c'est super dangereux aussi )
Si on les écoutait, il ne faudrait pas vivre (traverser la rue c'est super dangereux aussi )
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
bah oui , faire du sport pour compenser la clope c'est dangereux .... ça accélèrerait un cancer des poumons par trop d'oxygénation !
faire un footing c'est mauvais pour les articulations , le dos et ....la circulation sanguine !
faire du sport en salle donne la grippe ....par manque d'aération ...
faire du sport de salon fait prendre du bide !!!
en ce qui concerne encore mon père ... il s'aventurait parfois a prendre des risques idiots comme escalader les calanques de Cassis en sandales... il conduisait comme un malade et a additionné les accidents tellement qu'on était sûre qu'on le ramasserait un jour sur le bord de la chaussée à la petite cuillère ...
bref, un jour il a pris son masque et son tuba et on l'a ramasser à pédalo ...
faire un footing c'est mauvais pour les articulations , le dos et ....la circulation sanguine !
faire du sport en salle donne la grippe ....par manque d'aération ...
faire du sport de salon fait prendre du bide !!!
en ce qui concerne encore mon père ... il s'aventurait parfois a prendre des risques idiots comme escalader les calanques de Cassis en sandales... il conduisait comme un malade et a additionné les accidents tellement qu'on était sûre qu'on le ramasserait un jour sur le bord de la chaussée à la petite cuillère ...
bref, un jour il a pris son masque et son tuba et on l'a ramasser à pédalo ...
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
Il était imprudent quoi. Mais au moins, il est mort en se faisant plaisir, en vivant... Ce n'est qu'une maigre consolation, mais perso je préfère ça qu'une personne qui végète.
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
Aurélie a écrit:Il était imprudent quoi. Mais au moins, il est mort en se faisant plaisir, en vivant... Ce n'est qu'une maigre consolation, mais perso je préfère ça qu'une personne qui végète.
on ne peut pas dire qu'il n'ait jamais pris de risques !!! on a été une fois escorté par les motards de la gendarmerie de Monpellier à...Toulon .Il roulait à + de 180km/heure et , il avait oublié ses papiers ! ....et sur le trajet avec les flics ...il a continué de rouler à la même vitesse ....et a offert le café aux gendarmes arrivé à la maison !
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
LA DEPENDANCE AUX DROGUES
La majorité des chercheurs s’accorde pour reconnaître aux conduites de dépendance une triple origine: Biologique, psychologique, sociale.
Ainsi, plutôt que de rester limité aux drogues illicites, le concept de pharmacodépendance intègre « toute substance dont le sujet ne peut se passer ».
Il permet de désigner le noyau commun aux différents produits ( interdits ou autorisés ) : héroïne, cannabis, alcool, tabac, médicaments…
Dans cette perspective, le potentiel pharmacologique d’une substance ne suffit pas à expliquer la dépendance.
La dépendance physique, bien qu’au premier plan, ne constitue pas le problème principal et se traite assez facilement.
En revanche la dépendance psychologique est si forte qu’un traitement limité au sevrage est souvent voué à l’échec.
La dépendance psychique est l’état mental caractérisé par une impulsion qui requiert l’usage périodique ou continu d’une drogue dans le dessein de créer un plaisir ou d’annuler une tension.
La dépendance physique correspond à une exigence de l’organisme nécessitant, pour conserver son équilibre, l’apport régulier d’une substance chimique exogène ( substance qui provient de l’extérieur ).
ALCOOL : « Des débuts insidieux »
La dépendance à l’alcool, selon la définition habituelle, est la perte de la liberté de s’abstenir de l’alcool.
Les travaux sur la trajectoire de l’alcoolique ont permis de distinguer trois phases successives.
Une phase de plusieurs années, marquée par un début insidieux. Certains entrent dans l’alcoolisme par des expériences récurrentes d’ivresse, alors que d’autres augmentent progressivement leur consommation d’alcool dans un contexte ou l’ivresse demeure rare voire même absente. Les activités professionnelles, sociales et familiales sont conservées, et les troubles du caractère sont généralement absents.
Puis survient une phase relativement brève où se développe la perte du contrôle de l’ingestion d’alcool. Le sujet en abuse régulièrement mais n’en est pas encore dépendant.
Enfin arrive la phase d’alcoolisme où apparaissent les signes de l’alcoolisation chronique ( tremblements, perte d’appétit… ) ainsi que les troubles du comportement et du caractère ( agressivité, jalousie, troubles sexuels, anxiété, dépression… ). Les troubles intellectuels s’aggravent avec une marginalisation professionnelle et affective. Les complications deviennent fréquentes ( cirrhose, polynévrite, cancer, etc… ).
Le sevrage physique peut se réaliser en milieu hospitalier ou à domicile ; Il est rapide ( une semaine ) mais en raison des risques de convulsion et de confusion il est préférable de le réaliser à l’hôpital. Il constitue un moyen, celui de l’abstinence conquise… Le travail qui suit se prolonge souvent pendant plusieurs années.
L’évolution au long cours est émaillée d’incidents ou d’accidents imprévisibles et qui échappent à toute description. La ou les « rechutes » ne sont qu’un des éléments de la trajectoire. L’apparition d’éléments dépressifs avec risque suicidaire mérite d’être mentionnée en raison de sa relative fréquence.
L’évolution de l’alcoolisme est souvent imprévisible… des rémissions sont possibles, même dans les cas les plus défavorables.
Comme dans toutes les autres formes de dépendances, les incertitudes ne doivent pas conduire au découragement ou à l’abandon.
Source : ANPAA
Personnellement je ne consomme jamais d'alcool car j'ai vu ce que cette drogue, car c'est une drogue, peut engendrer comme souffrances !
50 000 morts par an - 13 millions de français qui souffrent de l'alcoolisme ! Combien de jeunes se tuent chaque WE pour avoir trop consommé d'alcool.
Existe-t-il une maladie ( parce qu'il s'agit bien d'une maladie econnue par le corps médical ... il existe d'ailleurs des médecins alcoologues) qui tue autant de personnes en France chaque année.
Bien évidemment il serait ridicule d'interdire la consommation d'alcool. Il n'est peut-être pas désagréable de déguster un bon vin. Le seul problème c'est que du plaisir on peut tomber dans la dépendance sans bien même s'en apercevoir croyant pouvoir "gérer" sa propre consommation, idée complètement illusoire.
Par contre dire que l'alcool est bon pour la santé ... nous ne sommes plus en 1930. Des chercheurs ont démontré que ce produit n'apporte aucun élément nutritionnel, aucun élément d'immunisation contre une quelconque maladie ( artère bouchée etc... ). Les recommandations de l'OMS peuvent suffire sur ce point !
La majorité des chercheurs s’accorde pour reconnaître aux conduites de dépendance une triple origine: Biologique, psychologique, sociale.
Ainsi, plutôt que de rester limité aux drogues illicites, le concept de pharmacodépendance intègre « toute substance dont le sujet ne peut se passer ».
Il permet de désigner le noyau commun aux différents produits ( interdits ou autorisés ) : héroïne, cannabis, alcool, tabac, médicaments…
Dans cette perspective, le potentiel pharmacologique d’une substance ne suffit pas à expliquer la dépendance.
La dépendance physique, bien qu’au premier plan, ne constitue pas le problème principal et se traite assez facilement.
En revanche la dépendance psychologique est si forte qu’un traitement limité au sevrage est souvent voué à l’échec.
La dépendance psychique est l’état mental caractérisé par une impulsion qui requiert l’usage périodique ou continu d’une drogue dans le dessein de créer un plaisir ou d’annuler une tension.
La dépendance physique correspond à une exigence de l’organisme nécessitant, pour conserver son équilibre, l’apport régulier d’une substance chimique exogène ( substance qui provient de l’extérieur ).
ALCOOL : « Des débuts insidieux »
La dépendance à l’alcool, selon la définition habituelle, est la perte de la liberté de s’abstenir de l’alcool.
Les travaux sur la trajectoire de l’alcoolique ont permis de distinguer trois phases successives.
Une phase de plusieurs années, marquée par un début insidieux. Certains entrent dans l’alcoolisme par des expériences récurrentes d’ivresse, alors que d’autres augmentent progressivement leur consommation d’alcool dans un contexte ou l’ivresse demeure rare voire même absente. Les activités professionnelles, sociales et familiales sont conservées, et les troubles du caractère sont généralement absents.
Puis survient une phase relativement brève où se développe la perte du contrôle de l’ingestion d’alcool. Le sujet en abuse régulièrement mais n’en est pas encore dépendant.
Enfin arrive la phase d’alcoolisme où apparaissent les signes de l’alcoolisation chronique ( tremblements, perte d’appétit… ) ainsi que les troubles du comportement et du caractère ( agressivité, jalousie, troubles sexuels, anxiété, dépression… ). Les troubles intellectuels s’aggravent avec une marginalisation professionnelle et affective. Les complications deviennent fréquentes ( cirrhose, polynévrite, cancer, etc… ).
Le sevrage physique peut se réaliser en milieu hospitalier ou à domicile ; Il est rapide ( une semaine ) mais en raison des risques de convulsion et de confusion il est préférable de le réaliser à l’hôpital. Il constitue un moyen, celui de l’abstinence conquise… Le travail qui suit se prolonge souvent pendant plusieurs années.
L’évolution au long cours est émaillée d’incidents ou d’accidents imprévisibles et qui échappent à toute description. La ou les « rechutes » ne sont qu’un des éléments de la trajectoire. L’apparition d’éléments dépressifs avec risque suicidaire mérite d’être mentionnée en raison de sa relative fréquence.
L’évolution de l’alcoolisme est souvent imprévisible… des rémissions sont possibles, même dans les cas les plus défavorables.
Comme dans toutes les autres formes de dépendances, les incertitudes ne doivent pas conduire au découragement ou à l’abandon.
Source : ANPAA
Personnellement je ne consomme jamais d'alcool car j'ai vu ce que cette drogue, car c'est une drogue, peut engendrer comme souffrances !
50 000 morts par an - 13 millions de français qui souffrent de l'alcoolisme ! Combien de jeunes se tuent chaque WE pour avoir trop consommé d'alcool.
Existe-t-il une maladie ( parce qu'il s'agit bien d'une maladie econnue par le corps médical ... il existe d'ailleurs des médecins alcoologues) qui tue autant de personnes en France chaque année.
Bien évidemment il serait ridicule d'interdire la consommation d'alcool. Il n'est peut-être pas désagréable de déguster un bon vin. Le seul problème c'est que du plaisir on peut tomber dans la dépendance sans bien même s'en apercevoir croyant pouvoir "gérer" sa propre consommation, idée complètement illusoire.
Par contre dire que l'alcool est bon pour la santé ... nous ne sommes plus en 1930. Des chercheurs ont démontré que ce produit n'apporte aucun élément nutritionnel, aucun élément d'immunisation contre une quelconque maladie ( artère bouchée etc... ). Les recommandations de l'OMS peuvent suffire sur ce point !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Ils nous emmerdent!
C'est comme la co***** d'hier soir sur la 2: "il ne faut surtout jamais prendre de compléments alimentaires".
Bah moi j'ai pris de la carnitine et ça marche très bien, d'ailleurs il faut que j'en rachète. Puis faut pas fumer, pas picoler, manger 3 noix et du bouillon de poule (bio, évidemment)......Sont chiants!!! J'ai donc répondu "Chiants comme la mort".
Bah moi j'ai pris de la carnitine et ça marche très bien, d'ailleurs il faut que j'en rachète. Puis faut pas fumer, pas picoler, manger 3 noix et du bouillon de poule (bio, évidemment)......Sont chiants!!! J'ai donc répondu "Chiants comme la mort".
The Shadow- Conseiller général
- Nombre de messages : 1125
Age : 39
Date d'inscription : 15/01/2008
Re: Ils nous emmerdent!
Et moi je prends de la mélatonine à chaque fois que je voyage, ça marche très bien contre le décalage horaire!
shimmy- Président du Conseil Général
- Nombre de messages : 4651
Age : 80
Date d'inscription : 14/01/2008
Re: Ils nous emmerdent!
Je mange également ce qui me plaît et ne me préoccupe pas de ces foutaises.
Je voulais seulement mettre en garde contre certaines contre-vérités relatives à la consommation d'alcool qui serait soi-disant bon pour la santé !
Par contre je ne suis pas contre une consommation modérée ( et encore sous ce mot on peut tout mettre ... ! ) et par goût ou/et plaisir de déguster un bon cru !
Je voulais seulement mettre en garde contre certaines contre-vérités relatives à la consommation d'alcool qui serait soi-disant bon pour la santé !
Par contre je ne suis pas contre une consommation modérée ( et encore sous ce mot on peut tout mettre ... ! ) et par goût ou/et plaisir de déguster un bon cru !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Ils nous emmerdent!
Un verre par jour, c'est très modéré Jean-Claude. Moi aussi je connais de près les souffrances qu'engendre le véritable alcoolisme, c'est pour ça que je suis très en colère de voir qu'on fait des campagnes pour emmerder les gens et non pas pour prévenir la vraie maladie.
L'alcool n'est pas une drogue comme les autres, on ne devient pas dépendant en buvant un verre par jour et si ça déclenche des cancers, ce n'est sûrement pas avant 70-80 ans. Alors les hygiénistes, je leur dis merde, et le chiffre de 13 millions d'alcooliques me paraît ultra gonflé.
L'alcool n'est pas une drogue comme les autres, on ne devient pas dépendant en buvant un verre par jour et si ça déclenche des cancers, ce n'est sûrement pas avant 70-80 ans. Alors les hygiénistes, je leur dis merde, et le chiffre de 13 millions d'alcooliques me paraît ultra gonflé.
Invité- Invité
Re: Ils nous emmerdent!
Quand je bois, je bois bien parfois trop, mais ce n'est pas tous les jours!
Par contre, j'abuse du café, à tel point qu'il n'y a pas de cafetière à la maison, mais j'utilise beaucoup le distributeur de l'aéroclub.
Par contre, j'abuse du café, à tel point qu'il n'y a pas de cafetière à la maison, mais j'utilise beaucoup le distributeur de l'aéroclub.
shimmy- Président du Conseil Général
- Nombre de messages : 4651
Age : 80
Date d'inscription : 14/01/2008
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