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Assises - Le "violeur des parkings" devant le tribunal

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Message  livaste Mar 3 Fév - 10:37

Le "violeur des parkings" devant le tribunal
Plusieurs fois condamné, Patrick Trémeau comparaît à partir de mardi devant les assises de Paris pour trois nouveaux viols, qu'il aurait commis à sa sortie de prison.
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le 03/02/2009 - 09h21


Son cas avait relancé à l'époque le débat sur la récidive. Patrick Trémeau, violeur récidiviste comparaît de mardi à vendredi devant les assises de Paris pour trois nouveaux viols. Il les aurait commis à sa sortie de prison en 2005. Les faits se seraient déroulés au cours de l'été de cette année. Les trois victimes, des jeunes femmes âgées de 20 à 35 ans, ont été violées de nuit, dans un local à poubelles du XVIe arrondissement pour l'une d'entre elles et dans deux parkings des XVIe et XIXe arrondissements. Lors de sa garde à vue, il avait avoué. En septembre 2005, Patrick Trémeau, alors âgé de 42 ans, avait été mis en examen et écroué pour "viols et viol aggravé en récidive".

L'homme avait déjà été condamné à sept ans de prison en 1987 dans le Val-de-Marne et à 16 ans de réclusion en 1998 à Paris pour le viol de onze jeunes femmes et deux tentatives, commis entre 1993 et 1995. Compte tenu des remises de peine et des décrets de grâce collective, il était sorti de prison en mai 2005 après dix années d'incarcération.




Le bracelet électronique, une "mesure de sûreté"

Cette affaire de récidive était intervenue quelques jours après une autre du même acabit : celle d'un gardien de l'Essonne, Jean-Luc Cayez, violeur récidiviste qui avait été écroué pour le viol et le meurtre d'une jeune femme habitant son immeuble.

Objet d'une proposition de loi défendue par le garde des Sceaux d'alors, Pascal Clément, la question de la récidive était alors revenue au coeur du débat politique. Contribuant à gonfler l'émotion du moment, des anciennes victimes de Patrick Trémeau avaient convoqué une conférence de presse pour mettre en cause les politiques. Ils "sont responsables de la sortie de Trémeau, c'est exactement comme s'ils lui avaient donné un bon pour recommencer", avait déclaré l'une d'entre elles.

Au terme d'un long processus parlementaire qui avait donné lieu à d'âpres discussions entre les deux assemblées, le Parlement avait finalement adopté définitivement, le 24 novembre, la proposition de loi UMP sur la récidive. La disposition phare du texte était l'instauration du placement sous bracelet électronique mobile, présentée comme "une mesure de sûreté".

Les réductions de peines

Depuis son adoption, cette mesure s'applique aux personnes majeures ayant été condamnées à au moins 7 ans de prison et nécessite le consentement de la personne concernée. La durée de placement ne peut pas excéder quatre ans pour un délit et six ans pour un crime. S'agissant des personnes condamnées avant la promulgation de la loi, le port du bracelet entre dans le cadre d'une "surveillance judiciaire" pour les criminels les plus dangereux et les délinquants sexuels condamnés à une peine égale ou supérieure à dix ans et après expertise médicale de leur dangerosité.

Le texte prévoyait également l'incarcération obligatoire à l'audience des délinquants sexuels ou violents récidivistes, la réduction des sursis avec mise à l'épreuve, voire leur suppression dans certains cas, et la limitation des réductions de peines. Cette loi a depuis été complétée par celle sur la rétention de sûreté, qui prévoit que les personnes condamnées à 15 ans de prison ou plus, notamment pour des crime de sang ou des viols aggravés, peuvent être retenues dans des centres fermés à la fin de leur peine, si elles sont toujours considérées dangereuses.

(D'après agence)

allons , on va voir son comité de soutien à ce criminel , les droits de l'hommistes qui vont venir pleurer sur le sort de ce pauvre prisonnie !




le 03/02/2009 à 08h54
Patrick Trémeau avait fais 10 années de prison pour le viol de 11 femmes. On fait le calcul du nombre d'années de prison pour 1 femme. Et on se dit qu'en République il vaut mieux violer que dealer du cannabis. Toutes mes désolations pour toutes ces femmes, qui, elles, sont marquées à vie.
Clara, Montpellier

le 03/02/2009 à 08h37
"
cette mesure s'applique aux personnes majeures ayant été condamnées à au moins 7 ans de prison et nécessite le consentement de la personne concernée" ça c'est totalement anormal, les victimes ont elles eu le choix ? non, une condamnation est une condamnation, bientôt ont va attendre leur le consentement pour effectuer leur peine de prison !
Grrrrrrrrrrr, Grrrrrrrrrrrrr
livaste
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