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encore un cas de maltraitance

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Message  livaste Jeu 11 Déc - 22:12

Maltraitance - Une mère mise en examen après la mort de sa fille


La fillette, âgée de 3 ans, était morte lundi soir dans un hôpital de Seine-Saint-Denis. L'autopsie avait révélé des traces nombreuses de maltraitance.
Placée en garde à vue dès lundi soir dans les locaux de la Sûreté départementale à Bobigny, la mère a reconnu des violences envers sa fille, sans reconnaître une maltraitance régulière.
- le 11/12/2008 - 21h32



Une jeune femme de 25 ans, mère d'une petite fille de trois ans morte lundi dans un hôpital de Seine-Saint-Denis, a été mise en examen jeudi par un juge de Bobigny pour violences habituelles ayant entraîné la mort et écrouée.

L'enfant avait été amenée lundi soir par sa mère à l'hôpital Casanova à Saint-Denis, puis transportée dans un état grave vers l'hôpital Jean-Verdier à Bondy, où son décès avait été constaté à l'arrivée. L'autopsie pratiquée mercredi sur la fillette avait alors révélé qu'elle était morte asphyxiée par des régurgitations dues aux multiples coups qu'elle avait reçus. De "très nombreuses traces de coups et plaies, récentes et anciennes" avaient été relevées sur l'ensemble de son corps, selon une source judiciaire.

Les aveux partiels de la mère

Placée en garde à vue lundi soir dans les locaux de la Sûreté départementale à Bobigny, la mère "n'a reconnu qu'un épisode de violences, le dernier". Cette Française née au Surinam était séparée depuis quelques mois du père de sa fille et vivait seule. Depuis plusieurs semaines, elle avait retiré la fillette de l'école maternelle.

Les "violences habituelles sur mineur de 15 ans ayant entraîné la mort", pour lesquelles elle est mise en examen, sont passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.
D'après agence

si la gamine avait fréquenté la maternelle , peut être ce drame aurait il été évité ?
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Message  livaste Ven 15 Oct - 8:13

Le «barbare des Vosges» condamné à la prison à vie

Par Charlotte Menegaux

14/10/2010 | Mise à jour : 17:59
La cour d'assises de Meuthe-et-Moselle a condamné en appel un homme de 43 ans, pour avoir fait subir toutes sortes de sévices sexuels aux enfants de sa compagne.

Un homme de 43 ans affublé d'un effrayant surnom par la presse, «le barbare des Vosges», a été condamné en appel jeudi à la prison à vie par la cour d'assises de Meurthe-et-Moselle. Une peine de sûreté de vingt ans a été prononcée à son encontre, pour des actes de torture et de barbarie commis sur les sept enfants de sa compagne, entre 1990 et 2004.

De son vrai nom Martial Gomes de Oliveira, le condamné a copieusement insulté ses victimes à l'énoncé du verdict. Il avait écopé de la même sentance en première instance, en novembre 2008, devant la cour d'assises des Vosges, à Epinal.

Cette peine est conforme aux réquisitions du parquet. Mercredi soir, l'avocat général Jacques Santarelli avait tonné : «A crime extraordinaire, peine extraordinaire !» Le procureur avait décrit l'accusé comme «un détraqué sexuel qui colonise les corps et les âmes, qui les dévore».

«Un bagne sexuel»
Et pour cause. Pendant près de 15 ans, Martial Gomes de Oliveira a fait subir différents sévices aux enfants de son ex-compagne, laquelle avait été séduite par les supposées qualités éducatives du bourreau. Aux sept victimes, aujourd'hui âgées de 19 à 31 ans, il infligeait brûlures de cigarettes, douche à l'antirouille et à l'eau de Javel, viols à l'aide d'un fusil à pompe ou introduction d'aiguilles à tricoter dans l'urètre. «Il les obligeait aussi à faire des pompes dans la rivière glacée en hiver en pleine forêt, ou à faire des tours de stade, nus, en pleine nuit», a rappelé l'un des avocats des parties civiles, Me Janick Languille, alors que l'accusation a décrit l'appartement de l'accusé comme «un bagne sexuel».

Du côté de la défense, Me François Gisser a contesté l'ensemble des faits reprochés, faisant valoir qu'il n'y avait «aucune preuve tangible». «Monsieur Gomes n'a pas beaucoup de personnalité, il a un moi inexistant» a plaidé l'avocat. Une thèse qui n'a pas convaincu le jury. De son côté, la mère des enfants, malade et alcoolique, n'était pas poursuivie.

Par Charlotte Menegaux


On atteint ici le fond !
Mais pourquoi la mère n'est elle pas aussi dans le box ?
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