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«On ne peut se résigner à la baisse du nombre des prêtres»

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«On ne peut se résigner à la baisse du nombre des prêtres» Empty «On ne peut se résigner à la baisse du nombre des prêtres»

Message  Invité Sam 13 Sep - 11:38

INTERVIEW - Secrétaire d'État du Saint-Siège, Tarcisio Bertone est le «premier ministre» du Pape. Benoît XVI s'appuie largement sur lui pour le gouvernement de l'Église. Il analyse les enjeux du voyage.

«On ne peut se résigner à la baisse du nombre des prêtres» Coeur-
LE FIGARO. Benoît XVI arrive en France pour la première fois en tant que Pape. Est-ce pour lui un voyage différent?
Cardinal Tarcisio BERTONE. La visite du pape dans un pays correspond à sa mission de pasteur de toute l'Église, reçue de l'apôtre Pierre : faire paître le troupeau du Christ et affermir ses frères dans la foi. Dans le cas de la France, nul n'ignore sa tradition historique ni le rôle que l'Église catholique y a joué au cours des siècles, sous de multiples formes. Pour vous répondre, je mettrais l'accent sur la seconde étape du voyage. Comme des millions de pèlerins, le Pape se rendra à Lourdes pour fêter le cent cinquantième anniversaire des apparitions de la Vierge à sainte Bernadette Soubirous.Tout le monde et sur tous les continents connaît le sanctuaire de Lourdes ainsi que son message lié à la prière et aux malades. Il y aura aussi à Lourdes la rencontre du Pape avec tous les évêques de France. Ce sera un moment de communion, qui lui donnera l'occasion de manifester son affection pour les pasteurs des diocèses français et de les exhorter dans leur délicate mission de guides des fidèles confiés à leurs soins.



De fait, les chiffres de l'Église sont très inquiétants. Quelles pistes d'avenir voyez-vous?
Celles de la cohérence de la foi et du courage apostolique, sans peur, ni pour la situation présente ni pour l'avenir. C'est l'exhortation de notre Pape au début de son pontificat : «N'ayez pas peur du Christ. Il n'enlève rien et il donne tout.» [b]S'il me faut indiquer une priorité, il me semble que c'est la question des vocations sacerdotales qui mérite la plus grande considération. On ne peut se résigner à la baisse du nombre des prêtres, et une paroisse sans pasteur est comme une famille qui a perdu son père
. Il faut prier et «se retrousser les manches», pour rendre les familles et les communautés sensibles à la nécessité de faire naître et de cultiver les vocations sacerdotales. Le Seigneur continue à appeler et à choisir ceux qui doivent Le rendre présent dans les communautés : il faut plus de générosité dans la réponse.


Comment le Pape perçoit-il l'Église de France? Une «enfant terrible», réfractaire?
Je repense à la question de Jean-Paul II dans son homélie de la messe au Bourget, au début du mois de juin 1980 : «France, fille aînée de l'Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême?» Je suis certain qu'aujourd'hui encore il existe en France, dans les villes comme dans les vastes campagnes, dans les paroisses comme dans les monastères, dans les mouvements de l'apostolat catholique comme dans de très nombreuses familles, des fidèles qui vivent leur foi avec sérieux et qui en témoignent. Je crois qu'il existe encore un profond sentiment religieux, très répandu, qui a besoin d'être encouragé, et que tout baptisé doit apprendre à assumer en personne. Je tiens à faire remarquer qu'aux Journées mondiales de la jeunesse à Sydney l'Église en France a fait venir des milliers de jeunes fervents et enthousiastes d'être des témoins du Christ. En ce sens, l'action des évêques, des prêtres, des religieux et des religieuses est précieuse : ils doivent s'ouvrir à la richesse ecclésiale qui peut venir de l'extérieur et qui contribuera à renouveler de nombreuses communautés ou des structures un peu «vieillies», si l'on me passe l'expression.


Benoît XVI arrive dans un contexte politique où le débat sur la laïcité a été relancé à la suite du discours du président de la République à Rome. Va-t-il y répondre?
Le président français, M. Nicolas Sarkozy, a prononcé au Latran un discours dont l'aspect novateur a été remarqué. Ce fut un discours très apprécié, car le chef de l'État a eu le courage de réaffirmer sa conception d'une laïcité qu'il a définie comme « positive », c'est-à-dire sans hostilité ni volonté d'ignorer la religion ainsi que le rôle de celle-ci dans la société et dans le monde. La rencontre du Pape avec le chef de l'État donnera certainement l'occasion d'y revenir.


Il va aussi rencontrer le monde de la culture au Collège des Bernardins. Comment compte-t-il surmonter la méfiance de certains milieux intellectuels français?
Le thème du dialogue entre foi et raison est très cher au pape Benoît XVI, comme au temps où il était professeur et cardinal. C'est un thème qu'il connaît bien et qu'il n'a cessé d'approfondir. Un intellectuel et pas seulement un intellectuel catholique qui veut réfléchir sur ce thème ne peut ignorer la voix de l'Église. Mais je ne crois pas qu'il existe en France une attitude de «méfiance» à l'égard de la pensée de Benoît XVI. Le discours qu'il prononcera au Collège des Bernardins donnera l'occasion de revenir sur ce thème, de susciter la curiosité, l'intérêt et le désir d'approfondir les liens entre foi et raison, religion et culture, et leur complémentarité.


Il y a un an, le Saint-Siège publiait un motu proprio pour tenter de résoudre un problème liturgique largement français. Cette mesure n'a-t-elle pas entraîné une crispation?
Permettez-moi de rectifier : on ne peut parler d'un «problème liturgique largement français». Le Pape a pris sa décision en vue du bien de toute l'Église. Il est exact qu'on l'attendait davantage en France, du fait que, comme on le sait, c'est le pays où l'on a vu naître le mouvement de Mgr Lefebvre et que la Fraternité fondée par lui s'est développée sur une grande partie du territoire français. On ne peut nier, d'autre part, que, même parmi les évêques, il y ait eu des opinions et des positions différentes.Il faut, en tout état de cause, reconnaître que l'épiscopat français a reçu le document du Pape et a fait, dans l'ensemble, ce qui était en son pouvoir pour le mettre en application. J'ajoute qu'il faut bien comprendre l'intention qui a inspiré la décision du Pape : la célébration de l'Eucharistie doit favoriser l'unité de l'Église, et non sa division. Poursuivre d'autres buts, c'est être bien loin de la volonté du Pasteur universel et ne pas aller dans cette direction.


Vous connaissez bien Benoît XVI pour avoir travaillé avec lui à la congrégation pour la Doctrine de la foi et aujourd'hui comme secrétaire d'État. Comment pourriez-vous caractériser son pontificat?
Son exemple et ses enseignements constituent une constante leçon de vie ! Je voudrais tout d'abord souligner la clarté de la doctrine de Benoît XVI, toujours exprimée avec une noblesse de langage, mais en même temps avec une efficace capacité de persuasion. Comme préfet de la congrégation pour la Doctrine de la foi, le cardinal Ratzinger avait l'habitude de dire que son rôle était de défendre la foi des simples contre les doctrines ambiguës et erronées des prétendus savants de ce monde. En lui, les dons de la nature et de la grâce se compénètrent et ils sont rehaussés par son humilité et sa simplicité. Comme secrétaire d'État, je peux témoigner de la façon dont il porte le poids que Dieu a mis sur ses épaules, un poids qui dépasse les forces humaines, à savoir le mandat de gouverner le troupeau du Christ Suspect comme pasteur de l'Église universelle.Il me semble que les lignes de fond de son pontificat commencent à se faire jour : l'enseignement clair et convaincant, tant sur le plan proprement théologique que sur le plan moral ; l'impulsion donnée à l'œcuménisme et la conduite du dialogue interreligieux, en cherchant à surmonter peu à peu les difficultés ; l'attention aux plus faibles, aux plus pauvres ; l'attention aux personnes les plus éprouvées, avec les vigoureux appels en faveur de la paix, de la réconciliation entre les groupes et les peuples, de la solidarité internationale.


a quand la possibilité de mariage pour les prêtres ???
[/b]

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Message  Invité Sam 13 Sep - 12:07

A quand les prêtres femmes.

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Message  Invité Sam 13 Sep - 13:27

je suis d'accord ! la parité à l'église aussi ! cheers

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Message  unknown Sam 13 Sep - 15:11

Et aussi à quand les prêtres pouvant se marier comme tu dis Franline? Smile
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Message  Georges Sam 13 Sep - 15:32

unknown a écrit:Et aussi à quand les prêtres pouvant se marier comme tu dis Franline? Smile

Ce sont deux jeunes prêtres qui discutent ensemble.
L'un demande à l'autre :
- Crois-tu qu'un jour on connaîtra le mariage des prêtres ?
Et l'autre répond :
- Nous peut-être pas, mais nos enfants sûrement.

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Message  livaste Sam 13 Sep - 15:43

excellent georges !
et il faut rappeler que jusqu'à la période des croisades , les pretres pouvaient se marier , c'est l'arrivée dans le clergé de quelques cardinaux psychologiquement atteints , ayant la peur et la haine des femmes , qui a amené le concile à interdire le maraiage de sprêtres !
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Message  unknown Sam 13 Sep - 15:46

livaste a écrit:excellent georges !
et il faut rappeler que jusqu'à la période des croisades , les pretres pouvaient se marier , c'est l'arrivée dans le clergé de quelques cardinaux psychologiquement atteints , ayant la peur et la haine des femmes , qui a amené le concile à interdire le maraiage de sprêtres !

Exact Livaste. Un truc bien débile d'ailleurs. Et ca m'étonne que cela n'a pas été changé avec le temps. scratch
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Message  Georges Sam 13 Sep - 15:54

livaste a écrit:excellent georges !
et il faut rappeler que jusqu'à la période des croisades , les pretres pouvaient se marier , c'est l'arrivée dans le clergé de quelques cardinaux psychologiquement atteints , ayant la peur et la haine des femmes , qui a amené le concile à interdire le maraiage de sprêtres !

L'interdiction de ce marier des prêtres, des évêques et des cardinaux était pour l'Eglise la necessité de palier un manque à gagner; les évêques et les cardinaux amassaient pendant leurs vie une petite fortune et ce sont leurs enfants qui en héritaient (un important manque à gagner pour l'Eglise) en grande partie résolu par cette interdiction.

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Message  livaste Sam 13 Sep - 16:03

Là tu donnes , à jueste titre , une explication économique , mais ce n'est pas la seule .
SQuand tu relis l'histoire de l'Eglise depuis son installation dans l'ocident , tu constates que les querelles ont été fréquentes , à partir du 7 eme siècle , entre ceux qui pronaient la chasteté et les partisans du mariage ( ou disons de l'union ) .
Et je suis certaine que , à la lecture de la psychiatrie d'aujourd'hui , on pourrait dresser les profils psychpathologiques des partisans de la chasteté , ceux qui étaient effrayés par les femmes et par toute relation charnelle !!!
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Message  livaste Sam 13 Sep - 16:17

Des prêtres mariés pendant plus d’un millénaire

L’Eglise indivise ordonnait dans les premiers siècles des hommes mariés à la prêtrise et même à l’épiscopat. Première inflexion à cet usage: le concile d’Elvire, vers, l’an 300, a demandé l’abstinence rituelle (la veille de l’eucharistie) au clergé marié, mais non la séparation des époux. C’est en 1139 que le concile Latran 11 a introduit une mesure disciplinaire interdisant le mariage des clercs. Dans les Eglises orientales de rite catholique, on compte, selon les estimations de La Vie, près de 5000 prêtres mariés, dont 750 sur 1000 dans l’Eglise ukrainienne, 250 sur 600 dans l’Eglise maronite, 100 sur 300 dans l’Eglise melkite et seulement 4 sur 120 dans l’Eglise arménienne.

Le Nouveau Testament

Paul a choisi de ne pas être marié pour être plus disponible au service de l’Évangile (1 Co 7, 7 et 9, 5), mais il n’en fait pas une règle générale. La seule prescription scripturaire concernant le mariage d’un ministre de l’Église se trouve dans 1 Tm 3, 3 et Tt 1, 6 : « II faut que l’épiscope soit le mari d’une seule femme. » La tradition patristique interprète ce passage comme l’interdiction de conférer l’ordination à un homme qui a été marié deux fois, et l’interdiction à un prêtre veuf de se remarier. Quelques-uns pensaient également qu’il était fait obligation à l’épiscope de se marier.

Les trois premiers siècles

Aucune loi, ni en Occident ni en Orient, n’interdit l’ordination d’hommes mariés, ni ne demande aux prêtres mariés de s’abstenir de relations conjugales. De même, il ne semble pas qu’il y ait d’objection à ce qu’un prêtre, célibataire au moment de son ordination, se marie ensuite.
Cependant, la valorisation de l’ascétisme et de la virginité fait penser qu’il est plus parfait pour un prêtre de rester célibataire ou de s’abstenir des relations conjugales s’il est marié.
Le IV siècle

En Orient comme en Occident, le mariage est interdit après une ordination. Celui qui est marié le reste près l’ordination. Le célibataire le reste également. Chacun doit être fidèle au premier lien contracté, mariage ou ordination.
Au début du siècle, la majorité des clercs usent de leurs droits conjugaux. A la fin du siècle, les clercs qui s’abstiennent des relations conjugales sont les plus nombreux. On rencontra une double explication : une plus grande disponibilité à Dieu et l’incompatibilité de l’exercice de la sexualité qui est du domaine de l’impur, avec la célébration quotidienne de l’Eucharistie.
En Occident (Espagne et Rome), des conciles demandent aux évêques, prêtres et diacres l’abstinence conjugale.

Au Ve siècle

En Orient, évêques, prêtres et diacres peuvent toujours user du mariage. En Occident, l’évêque de Rome a demandé à toutes les Églises d’imposer l’abstinence conjugale aux évêques, prêtres et diacres, mais ils peuvent continuer à cohabiter avec leur épouse.

Au VIe siècle

En Orient, l’Église fixe définitivement sa discipline concernant les clercs et le mariage (692). C’est encore celle d’aujourd’hui :

L’homme marié, choisi comme évêque, doit se séparer de sa femme. Celle-ci doit quitter le domicile conjugal et aller vivre dans un monastère éloigné. L’évêque doit subvenir au besoin de son épouse. Mais de plus en plus, on choisit les évêques parmi les moines.

Mariés au moment, de son ordination, le prêtre et le diacre ne changent rien à leur vie conjugale. La pratique contraire est même condamnée. En Occident, l’abstinence conjugale des clercs est renforcée : un concile veut introduire un surveillant dans la chambre des clercs. Des sanctions sont prises contre ceux qui ont eu un enfant après l’ordination.

De Charlemagne au XIème siècle

On continue d’ordonner des hommes mariés qui gardent l’abstinence conjugale dans une cohabitation possible. Toutefois, de jeunes clercs célibataires formés dans des écoles sont ordonnés sans avoir été mariés. Malgré l’interdiction, il en est qui se marient après l’ordination. : C’est la situation que trouve Grégoire VII en 1073.

La réforme grégorienne

Grégoire VII en 1074 ne distingue plus entre prêtres mariés ayant l’ordination et prêtres mariés après. Toute cohabitation est proscrite sous peine d’être interdit de ministère. Des résistances se font jour contre la décision pontificale : « Cette loi est insupportable et déraisonnable » ; « Sans le concours de mains féminines, nous péririons de froid et de nudité… ». Certains considèrent cette loi comme une nouveauté par rapport à la tradition. Cependant bien qu’illicite, le mariage des prêtres est considéré comme valide.

Le deuxième concile du Latran (1139) décide que le mariage des prêtres est invalide. En 1170, le pape Alexandre III demande que la femme de l’homme marié ordonné prêtre ait donné au préalable son consentement et fasse elle-même vœu de chasteté.

En droit, il est donc toujours possible d’ordonner un homme marié qui se sépare de sa femme. Concrètement c’est bien difficile ; le sacerdoce est donc pratiquement limité aux célibataires et aux veufs. Cependant, il faut attendre le Code de droit canonique de 1917, pour qu’il soit dit que le mariage constitue un empêchement aux ordres et donc que soit imposée explicitement la loi du célibat ecclésiastique.

D’après M. DORTBL-CLAUDOT. État de vie et rôle du prêtre, Centurion, Paris, 1971, p. 43-9O.
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Message  Invité Sam 13 Sep - 17:42

sur ce sujet l'Eglise catholique a un retard de plusieurs siècles incroyable.... c'est honteux !!!!!

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