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Le plan de paix de Sarkozy accepté

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Le plan de paix de Sarkozy accepté Empty Le plan de paix de Sarkozy accepté

Message  livaste Mer 13 Aoû - 7:20

Publié le 13/08/2008 à 07:53 Le Point.fr

Par Clément Daniez (avec agence)


Mission accomplie pour Nicolas Sarkozy, qui a retrouvé mercredi à l'aube son lieu de villégiature, au cap Nègre, dans le sud de la France. La Russie et la Géorgie ont accepté mardi le plan de paix négocié par le président français, qui prévoit le retrait de l'essentiel des forces russes et géorgiennes. "Il y a un texte. Il a été accepté à Moscou, il a été accepté, ici, en Géorgie (...). J'ai l'accord de tous les protagonistes", a indiqué le président mardi soir lors d'une conférence de presse commune à l'issue d'entretiens avec son homologue géorgien Mikheïl Saakachvili à Tbilissi. Ce "texte-cadre" sera présenté aux ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne mercredi à Bruxelles "pour qu'il soit soutenu et garanti" par l'UE, et "servira de base à la préparation d'un document juridique sous la forme d'une résolution qui sera déposée au Conseil de sécurité de l'Onu".
Le président géorgien a pour sa part insisté sur le fait que la perspective de discussions ultérieures sur le statut de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud, initialement prévue par le texte en six points, avait été écartée. "Nous ne voulons laisser aucun doute (sur le fait que) l'intégrité territoriale et l'appartenance de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie à la Géorgie ne pourra jamais être mise en doute", a insisté le président géorgien. Le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, avait déclaré samedi que la Géorgie avait porté un "coup mortel" à son intégrité territoriale en faisant entrer ses soldats la veille en Ossétie du Sud.

"Mesures additionnelles de sécurité" des Russes en Ossétie du Sud

Du reste, a précisé Nicolas Sarkozy, "dans l'attente d'un mécanisme international" sur la nécessité duquel insiste Tbilissi, les "forces de paix russes", vont pouvoir mettre en oeuvre "des mesures additionnelles de sécurité" dans "l'immédiate proximité de l'Ossétie du Sud", en territoire géorgien. Le plan a par ailleurs pour effet que les parties russe et géorgienne s'engagent à ne pas "recourir à la force", à "cesser les hostilités de façon définitive", à assurer un "accès libre à l'aide humanitaire", à ce que les forces géorgiennes retournent "dans leur lieu habituel de cantonnement", tandis que l'armée russe doit se retirer "sur les lignes antérieures au déclenchement des hostilités".
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, avait averti que la Russie serait contrainte de prendre de nouvelles "mesures" contre la Géorgie, si celle-ci rejetait le plan de paix négocié. Mikheïl Saakachvili est "tombé dans un piège grossier" en lançant une offensive militaire en Ossétie du Sud et il "a joué et perdu", estime-t-on dans l'entourage du président français Nicolas Sarkozy. Les États-Unis avaient souligné que les opérations militaires russes en Géorgie devaient "vraiment s'arrêter maintenant" et ont annulé, selon une source, un exercice militaire conjoint qui devait se tenir du 15 au 23 août avec les Russes dans la mer du Japon.

La Géorgie soutenue par l'Otan et d'anciens pays communistes de l'Est

Avant d'accepter un accord, la Géorgie a annoncé quitter la Communauté des États indépendants, qui regroupe sous la houlette de la Russie douze des quinze ex-Républiques soviétiques, et a demandé une "assistance militaire" à l'Otan, notamment pour remplacer son système de radars détruit par l'offensive russe. Les perspectives pour la Géorgie d'une entrée à terme au sein de l'Alliance atlantique "sont maintenues", a affirmé le secrétaire général de l'Otan, Jaap de Hoop Scheffer.

Par ailleurs, la Géorgie a porté plainte devant la Cour internationale de justice (CIJ) contre la Russie pour "nettoyage ethnique", a fait savoir la CIJ dans la soirée. Cinq dirigeants d'anciens pays communistes, la Pologne, l'Ukraine et les États baltes, étaient venus mardi soir à Tbilissi soutenir la Géorgie. Le temps de la domination russe "est passé" en Géorgie, a notamment lancé le président polonais Lech Kaczynski, devant des dizaines de milliers de personnes réunies devant le Parlement géorgien.

Sur le terrain, la situation est restée confuse mardi, les Russes accusant les Géorgiens ne ne pas respecter le cessez-le-feu, mais annonçant pour leur part avoir pris le contrôle de l'aéroport de Senaki, proche de l'Abkhazie, dans l'ouest de la Géorgie. Deux journalistes, l'un géorgien et l'autre néerlandais, ont été tués dans le bombardement de la ville géorgienne de Gori. "Nous avons de très lourdes pertes, une grande partie de nos équipements militaires et de notre armement a été détruite" et les forces russes ont fait sauter mardi au moins trois navires de guerre dans le port géorgien de Poti, sur la mer Noire, a annoncé le Conseil de sécurité géorgien.

Bravo à N. Sarkozy , il a fait tout ce qui pouvait faire et s'en est bien tiré !
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Message  livaste Mer 13 Aoû - 7:28

Sarkozy appelle à «donner corps au cessez-le-feu»

De notre envoyé spécial à Moscou et Tbilissi Charles Jaigu
13/08/2008 | Mise à jour : 00:25 | Commentaires 1 .


Le président français a négocié trois heures et demi durant avec son homologue russe, Dmitri Medvedev, et le premier ministre, Vladimir Poutine, les modalités de la cessation des hostilités en Géorgie.

Ils se sont fait longtemps attendre. Le déjeuner de travail qui devait durer une heure à peine s'est transformé en un marathon de près de trois heures et demie. Avec un seul sujet au menu : le cessez-le-feu en Géorgie. Invité surprise au déjeuner de travail prévu entre Nicolas Sarkozy et Dmitri Medvedev, le premier ministre Vladimir Poutine a sans doute contribué à rallonger beaucoup la discussion. Son arrivée dans l'enceinte du Kremlin, dont il a été l'hôte si longtemps, était bien le signe que la guerre russe dans le Caucase est avant tout l'affaire du tout-puissant premier ministre.
Nicolas Sarkozy, quant à lui, n'avait qu'un seul objectif : faire coïncider son arrivée à Moscou avec l'annonce par les autorités russes d'un cessez-le-feu. Après avoir obtenu l'engagement de Medvedev sur ce point dans la soirée de lundi, le chef de l'État a quitté le cap Nègre, où il passe ses vacances depuis le 21 juillet, très tôt mardi matin. Dmitri Medvedev annonçait dans la foulée le cessez-le-feu à la télévision russe.

En arrivant dans le salon d'apparat du Kremlin, Dmitri Medvedev a remercié Nicolas Sarkozy d'avoir «participé au règlement d'un problème compliqué». «L'opération qui a été menée par le contingent renforcé de maintien de la paix a terminé son activité. L'agresseur a été puni et désorganisé», s'est félicité Medvedev dans le style impérial qu'affectionne le Kremlin. «Nous avons défendu les intérêts russes», a-t-il ajouté. Restait à assortir la promesse russe de garanties durables, à «donner corps à un cessez-le-feu», selon l'expression du chef de l'État français. Car «s'il est parfaitement normal, comme l'a souligné Nicolas Sarkozy, président en exercice de l'Union européenne, que la Russie veuille défendre ses intérêts ainsi que ceux des Russes en Russie et des russophones à l'extérieur de la Russie, il est normal également que la communauté internationale veuille garantir l'intégrité, la souveraineté et l'indépendance de la Géorgie».

Moscou souhaite l'autodétermination des Ossètes
Le nouveau président russe, qui n'a rencontré personnellement Nicolas Sarkozy qu'au G 8 au Japon, est souriant et accueillant. Mais, sur le fond, celui que les politiciens occidentaux peignaient déjà en «colombe» a gardé la terminologie du «faucon» Vladimir Poutine. Il fixe en effet plusieurs conditions à l'application d'un cessez-le-feu. En premier lieu, «le retrait de toutes les forces géorgiennes sur leurs bases». À cela, il en ajoute une autre, très floue et inattendue : «La démilitarisation partielle de certains contingents militaires géorgiens.» Puis le président russe renvoie vers la signature du texte proposé par la France, «contraignant la Géorgie à ne pas user de la force».

Trois heures plus tard, c'est dans l'imposante salle de presse du Kremlin, coiffée d'une magnifique coupole à caissons, que Nicolas Sarkozy et Dmitri Medvedev ont réapparu pour rendre publics les «six principes» du cessez-le-feu «provisoire», selon la prudente expression de Nicolas Sarkozy. «L'engagement de ne pas recourir à la force», celui de cesser «définitivement toutes les hostilités», ou encore «l'accès libre à l'aide humanitaire»,le «repli des forces géorgiennes dans leur lieu habituel de cantonnement» forment les premiers principes. «Les forces militaires russes se retireront sur une ligne antérieure au début des hostilités. En attendant un mécanisme international, les forces de paix russes mettront en œuvre les mesures additionnelles de sécurité», a précisé Nicolas Sarkozy.

Le sixième point est l'ouverture de discussions internationales sur le statut futur de ces régions. «La solution durable n'a pas été trouvée. Il y a un engagement russe de garantir la souveraineté de la Géorgie» , s'est félicité Nicolas Sarkozy, ce que le président russe a confirmé, tout en appelant à l'autodétermination des Ossètes et des Abkhazes, et en se réclamant de l'exemple du Kosovo, qui lui aussi s'est détaché de la Serbie «en invoquant ce droit». Avant de s'en prendre aux «mensonges de Saakachvili sur un prétendu cessez-le-feu».«La différence entre les fous et les gens normaux, c'est que les fous, quand ils sentent l'odeur du sang, il est très difficile de les arrêter», a-t-il lâché sur un ton égal. «Vous voyez que les plaies sont à vif. La guerre n'est jamais une solution. La France le pense à l'égard des Géorgiens lorsqu'ils ont pris certaines initiatives, et la France l'a dit aux Russes», a enchaîné Nicolas Sarkozy.

«On essaye d'arrêter les souffrances»
Avant de s'envoler en fin d'après-midi pour Tbilissi à la rencontre de son homologue géorgien, le président de la République semblait satisfait de son initiative de médiation. «Ce qu'on essaye, c'est d'arrêter les souffrances, d'arrêter les morts. Nous sommes dans une situation d'urgence et notre objectif n'était pas de régler tous les problèmes.» Mais d'agir.

«Comme tu vois, je suis là. Je n'ai pas écouté les conseils de ceux qui me disaient de ne pas venir. Il me semble très compliqué de résoudre des crises elles-mêmes compliquées si on ne se parle pas», avait lancé Nicolas Sarkozy à son arrivée à Moscou. «Tu as bien fait. C'est celui qui a une position active qui est payé de retour», lui avait rétorqué Dmitri Medvedev avant que ne commence une longue séance de négociations qui aura duré deux fois plus longtemps que prévu.

Ambiance surchauffée
Ces derniers jours, l’Élysée avait fait savoir aux autorités russes que Saakachvili avait dilapidé en une nuit son capital de sympathie en prenant une décision qui était « une folie ». Il avait aussi souligné qu’à leurs yeux la réaction russe avait été « disproportionnée », mais que la France la « comprenait ». Cette position médiane a été « bien reçue à Moscou », note un diplomate, d’autant plus que George Bush avait, quelques jours plus tôt, critiqué avec véhémence la réaction militaire russe. Après avoir obtenu l’engagement de Medvedev sur ce point dans la soirée de lundi, Nicolas Sarkozy avait quitté le Cap Nègre, où il passe ses vacances depuis le 21 juillet, très tôt hier matin. Dmitri Medvedev annonçait dans la foulée le cessez-le-feu à la télévision russe. En arrivant dans le salon d’apparat du Kremlin, Dmitri Medvedev a remercié Nicolas Sarkozy d’avoir « participé au règlement d’un problème compliqué ». « L’opération qui a été menée par le contingent renforcé de maintien de la paix a terminé son activité. L’agresseur a été puni et désorganisé », s’est félicité Medvedev dans le style impérial qu’affectionne le Kremlin. « Nous avons défendu les intérêts russes », a-t-il insisté. Restait à assortir la promesse russe de garanties durables. Si le nouveau président russe, qui n’a rencontré personnellement Nicolas Sarkozy qu’au G8 de au Japon, est souriant et accueillant, sur le fond, celui que les politiciens occidentaux peignaient déjà en colombe a gardé la terminologie du « faucon » Vladimir Poutine. « Désormais, la balle est dans le camp de Saakachvili », a conclu sobrement le président russe.
L’accord russe en poche, Nicolas Sarkozy s’est envolé vers Tbilissi, convaincu que les Géorgiens n’avaient pas d’autre solution que de « toper ». Changement de décor : le président atterrit par une nuit douce, dans une ambiance surchauffée. Entraîné par Saakachvili, il arrive dans la majestueux palais présidentiel, où l’on entend toute proche la rumeur de la foule des supporteurs du président géorgien. « J’aurais préféré accueillir mon ami Sarkozy dans une occasion plus joyeuse, a glissé dans un français parfait Mikhaïl Saakachvili. Cela me rappelle Prague en 68 ou Budapest en 56 ». Ce dernier a annoncé un peu plus tard un accord, tout en réclamant des précisions sur le plan de paix proposé.
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Message  Invité Mer 13 Aoû - 10:41

excellent !

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Message  livaste Mer 13 Aoû - 10:51

Géorgie - Sur le terrain, la paix reste fragile


Au lendemain de l'accord entre Moscou et Tbilissi, le président géorgien accuse son homologue russe de "violer le cessez-le-feu."
Bernard Kouchner envisage le déploiement de troupes européennes sur place.
-
le 13/08/2008 - 11h21




Que faut-il attendre du plan de paix ?


Moscou et Tbilissi sont tombés d'accord, mardi sur le plan proposé par Nicolas Sarkozy (Lire notre article), mais sur le terrain la situation reste trouble. Et le président géorgien Mikheïl Saakachvili accuse déjà son grand voisin de violer le cessez-le-feu. Concernant les mouvements des troupes russes, les deux pays peinent en effet à parler d'une même voix. Dans la ville de Gori, par exemple, le secrétaire du conseil de sécurité géorgien affirme que 50 chars et blindés russes occupent la ville, ce que conteste fermement l'état-major des forces russes. Ce dernier concède néanmoins que les forces géorgiennes commencent à se retirer "de l'Ossétie du Sud, mais pas de façon massive."


Mercredi matin, le ministre russe des Affaires étrangères a, par ailleurs, affirmé que la Russie ne quitterait la Géorgie qu'après le retour des forces géorgiennes dans leurs casernes. "Après le retrait des troupes géorgiennes dans leurs casernes, (les forces russes) retourneront sur le territoire de la Fédération russe. Nos forces de maintien de la paix resteront en Ossétie du Sud", a-t-il déclaré. Selon le plan de paix parrainé par le président, les forces militaires géorgiennes doivent retourner "dans leur lieu habituel de cantonnement" et les forces russes se retirer "sur les lignes antérieures au déclenchement des hostilités". L'armée russe a également affirmé avoir recensé 74 morts, 171 blessés et 19 disparus dans ses rangs en raison du conflit russo-géorgien. La Russie dispose depuis le début des années 1990 de forces de maintien de la paix en Ossétie du Sud, un territoire séparatiste pro-russe en Géorgie et coeur du conflit actuel entre Moscou et Tbilissi.

voila 2 gouvernements aussi cons l'un que l'autre !

"Des contrôleurs" européens bientôt sur place ?

Autre point qui risque de fragiliser la paix entre les deux pays, le statut des "des territoires séparatistes de Géorgie." C'est justement le sujet qui a failli faire capoter le plan de paix de Nicolas Sarkozy. Le président géorgien a obtenu que ces statuts ne soient pas rediscutés contrairement à ce que souhaitait Moscou. Mais mercredi matin, le Kremlin, insiste de nouveau sur la nécessité de rediscuter du "statut, au niveau international" a déclaré mercredi le chef de la diplomatie russe. "Le statut n'est pas cité" explicitement dans la version finale du texte proposé par la France, mais la discussion de la question de la sécurité de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie "est impossible hors du contexte de leur statut", a justifié le diplomate.

Pour tenter de consolider la paix encore fragile, la France envisage que l'Union européenne déploie des troupes en Ossétie du Sud afin de superviser la mise en oeuvre de l'accord approuvé la veille par la Géorgie et la Russie. "L'idée d'avoir des moniteurs, vous appelez ça des troupes de paix, je ne les appellerai pas comme ça, mais des contrôleurs, des moniteurs, des facilitateurs européens, oui, oui et oui. C'est comme ça que l'Europe doit être, en allant sur le terrain", a dit le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner. "Je pense que les Russes l'accepteront. Je ne dis pas qu'il n'y aura pas aussi des éléments russes", a-t-il ajouté. Kouchner devait conduire, mercredi, une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'UE et leur présenter le plan de paix.
(D'après agence)
Ce serait l'occasion de placer l'UE comme un partenaire qui compte !
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Message  Invité Mar 19 Aoû - 17:41

Sarkozy n'a rien négocié ... si j'en juge la tournure des événements à ce jour ! Peut-être aurait-il dû envoyer Raffarin et Poncelet pour négocier un traité de paix entre les belligérants ? Very Happy

La Russie est toujours en position d'occupant et ça n'est pas le président d'un petit pays comme la France ( endetté et au bord de la faillite ) qui à lui tout seul aura le langage assez fort pour faire plier la Russie.

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Message  Invité Mar 19 Aoû - 17:46

Il a au moins eu le mérite de l'ouvrir, pour une fois...

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Message  Invité Mar 19 Aoû - 17:58

Aurélie a écrit:Il a au moins eu le mérite de l'ouvrir, pour une fois...
Tu parles d'un mérite ... quand on vient de faire des "courbettes" devant le président chinois sans même oser dénoncer en persone le non respect des droits de l'homme dans ce pays. ( Cela a été fait par une note qui a été remise au Chef D'Etat Chinois ... Sarkozy n'a pas osé faire ses commissions tout seul Laughing ).

Il est le seul Chef d'Etat Européen présent à l'ouverture des JO en Chine ... pendant ce temps ses collègues européens chefs d'état recevait le Dai Lama ... ! Quand S.Royal avait été en Chine ... quel scandale cela avait provoqué ... mais là ... rien ... la presse française est muette !

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Message  Invité Mar 19 Aoû - 18:03

C'est sûr que son attitude envers la Chine n'est pas glorieuse, et en plus il s'est longtemps couché devant Poutine, mais il me semble que quand il fait quelque chose de pas trop mal, il faut le dire aussi Wink

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Message  livaste Mar 19 Aoû - 18:31

Aurélie a écrit:C'est sûr que son attitude envers la Chine n'est pas glorieuse, et en plus il s'est longtemps couché devant Poutine, mais il me semble que quand il fait quelque chose de pas trop mal, il faut le dire aussi Wink

Tout à fait d'accord avec toi , lui au moins il a essayé !
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