Un salarié consultait des images pédophiles chez Air France
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Un salarié consultait des images pédophiles chez Air France
Jérôme Bouin (lefigaro.fr)
22/10/2008 | Mise à jour : 13:46 | Commentaires 3 .
Pour la compagnie il s'agit d'un cas isolé. Mais selon le site Bakchich. info, plusieurs employés de la compagnie auraient aussi été mis en examen pour recel.
Ce genre de^problème est difficilement évitable , je ne comprends pas comment Bacchich , peut d"plorer un manque de sécurité , c'est à dire demander une censure d'internet .
C'est un outil extraordinaire , on ne va pas demander sa censure , même dans des entreprises , parce que des cinglés l'utilisent pour assouvir leurs vices .
22/10/2008 | Mise à jour : 13:46 | Commentaires 3 .
Pour la compagnie il s'agit d'un cas isolé. Mais selon le site Bakchich. info, plusieurs employés de la compagnie auraient aussi été mis en examen pour recel.
L'affaire serait sur le bureau du juge Marc Sommerer du Tribunal de Grande instance de Bobigny. Selon les informations du site internet bakchich.info, une information judiciaire a été ouverte à l'encontre de plusieurs employés du siège d'Air France pour recel d'images pédophiles. Plusieurs personnes auraient été mises en examen. A l'origine de cette affaire, une plainte d'une association italienne de protection de l'enfance devant la gendarmerie française. L'association signale alors un trafic d'images pédophiles sur Internet via une société française. Une enquête de la gendarmerie du transport aérien parvient à identifier l'origine du trafic présumé : le siège d'Air France, situé à Roissy-en-France.
Contactée par lefigaro.fr, la brigade de recherche de la gendarmerie des transports aériens confirme avoir mené cette enquête sur commission rogatoire du juge de Bobigny. L'investigation, aujourd'hui close, a été transmise au magistrat. En revanche, les gendarmes aériens n'ont pas souhaité confirmer la raison de cette enquête.
Selon les éléments de l'enquête de gendarmerie, cités par Bakchich, un total de 450.000 fichiers pornographiques, dont certains à caractère pédophile auraient transité depuis 1998 par l'ordinateur d'un employé du service immobilier de la Compagnie. Ces fichiers auraient ensuite été échangés avec d'autres employés (leur nombre n'est pas précisé) via l'intranet de l'entreprise. L'un des individus mis en cause, cité par Bakchich, évoque «une tradition d'échange de fichiers de cette nature».
«Comportement inadmissible»
La compagnie aérienne, interrogée par lefigaro.fr, confirme qu'un seul de ses collaborateurs «a été interpellé sur son lieu de travail en décembre 2007 du fait de la détention de matériel photographique pédophile (des photos) sur son ordinateur personnel». Ce dernier a été immédiatement licencié pour faute grave, sans indemnités. Air France ne précise pas le service dans lequel travaillait cet employé. La compagnie dénonce «un comportement inadmissible» et rappelle son engagement dans la lutte contre l'exploitation sexuelle des enfants.
Selon le site Bakchich.info, - une information que n'a pas confirmé Air France - «plusieurs cadres responsables de la sécurité de la compagnie sont entendus dans le cadre de l'enquête». Ils «nient le visionnage d'images à caractère pédophile» mais «admettent l'échange de fichiers pornos dits ‘traditionnels'». Seraient notamment mis en cause plusieurs très hauts responsables.
Une enquête interne aurait été ouverte par Air France - là encore, la compagnie ne l'a pas confirmé - mais ses conclusions n'ont pas encore intégré le dossier d'instruction. Air France a souhaité se porter partie civile. Ce qui lui aurait été refusé par le juge d'instruction. La compagnie a fait appel de ce refus.
Alors que Bakchich déplore l'absence de sécurité des services informatiques d'Air France, la compagnie vante de son côté «un des services les plus performants». Rien n'empêche toutefois l'introduction de fichiers délictueux sur ses ordinateurs, par une clé USB ou tout type de disque contenant des données.
Enfin, dernier élément troublant, l'un des mis en examen aurait été arrêté «en possession d'un pistolet Beretta 22 long rifle», sans permis de port d'armes, ajoute le site internet. L'homme aurait affirmé porter l'arme sur son lieu de travail. Pas de confirmation d'Air France à ce niveau.
Ce genre de^problème est difficilement évitable , je ne comprends pas comment Bacchich , peut d"plorer un manque de sécurité , c'est à dire demander une censure d'internet .
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