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Enfin , la droite ose réagir face à ce gouvernement qui se couche devant les islamistes

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Message  livaste Mer 21 Jan - 22:13



Nicolas Sarkozy se dit «consterné» par les propos de Valls sur «l'apartheid»

Home ACTUALITE Politique
Par Charles Jaigu
Mis à jour le 21/01/2015 à 22:53
Publié le 21/01/2015 à 21:15

Invité du «20 heures» de France 2, le président de l'UMP a jugé «inadaptée face à la réalité de la menace» la création de postes de policiers et plaide pour un retour au système des heures supplémentaires pour les forces de l'ordre.



«Consternation.» Interrogé sur l'expression d'«apartheid» employée par Manuel Valls pour décrire la situation dans certains quartiers, Nicolas Sarkozy s'est dit «consterné». «Comparer la République française à l'apartheid, c'est une faute», a-t-il dénoncé sur France 2, faisant valoir que la France défend les libertés publiques et «garantit les soins et l'école gratuits».

Nicolas Sarkozy n'a pas hésité longtemps, finalement, avant de faire savoir à France 2 qu'il souhaitait s'exprimer. Il a d'emblée fixé un temps minimum d'«au moins quinze minutes». Le temps nécessaire, à ses yeux, pour répondre dans le détail aux propositions de Manuel Valls et aux déclarations de François Hollande faites dans la journée. Le temps de montrer qu'il se place au niveau du tandem de l'exécutif, et non à celui du premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, qui a lancé lundi des critiques sur la gestion de la crise par le président de l'UMP.

«Il y a des choses importantes qui se passent, il est normal que l'opposition s'exprime, sinon on demandera où est l'opposition», résume l'un de ses conseillers. Nicolas Sarkozy considère, en outre, que son passé d'ancien ministre de l'Intérieur lui donne une légitimité supplémentaire. Il a bien noté qu'il avait regagné six points chez les sympathisants de l'UMP, et qu'il était repassé devant Alain Juppé dans l'électorat de droite. Une raison supplémentaire de marquer le coup, notamment en tenant compte de l'attente très forte de la base de l'UMP, qui manifeste son refus que «l'unité nationale soit synonyme de disparition de l'opposition», comme le dit le député européen Brice Hortefeux.
«C'est une guerre»

Face à l'arsenal des propositions présentées par la majorité, Nicolas Sarkozy a souhaité que le gouvernement aille plus vite et plus loin. «C'est une guerre, c'est notre civilisation qui est en cause. Je crains que la menace continue pendant longtemps. La menace est au plus haut niveau», a-t-il expliqué.


Pour lui, la création de «340 postes de policiers supplémentaires dans l'année» est très «inadaptée face à la réalité de la menace» car cela prendra trop de temps. Il propose donc de «revenir au système des heures supplémentaires pour les effectifs de police et de renseignement, ce qui correspondra à 4000 équivalents temps plein». «Faut-il aussi rappeler que la création des 35 heures a entraîné la suppression de 8000 postes», a-t-il ajouté. Nicolas Sarkozy a aussi demandé qu'on puisse rétablir les «interceptions de sécurité», autrement dit les écoutes téléphoniques, pour les proches des terroristes, et que l'on puisse faciliter l'initiative des enquêteurs en dehors des procédures judiciaires.

«Qu'est-ce que l'islam est prêt à faire pour la République?»
Nicolas Sarkozy

Enfin, il a confirmé les propositions de l'UMP en faveur d'un retrait de la nationalité des djihadistes binationaux. Il a également appelé à la création de «centres de déradicalisation». «Qu'est-ce que l'islam est prêt à faire pour la République?», a demandé Nicolas Sarkozy en demandant une formation des imams. Il a également cité Christiane Taubira, dénonçant «le désarmement pénal» et mettant en cause «l'interruption du plan prison». Nicolas Sarkozy estime que l'union nationale n'est plus à l'ordre du jour. «L'unité nationale ne veut pas dire qu'il n'y a pas un choix, qu'on ne peut pas faire de propositions», a-t-il rétorqué.

Enfin, Nicolas Sarkozy a refusé de commenter les images qui le montrent en train de remonter au premier rang du cortège des chefs d'État, le 11 janvier. «M. Pujadas, permettez-moi de ne pas tomber à ce niveau-là, ça, c'est la caricature de la politique. Permettez-moi de ne pas parler en même temps de la mousse et de choses qui vont au plus profond du pays.»



Enfin !!!

N'entendant pas de réactions face à la complaisance de vals envers l'islam radical , valls qui hier excusait même les ennemis de l'intérieur , je me demandait s'il y avait encore quelqu'un dans l'opposition .
Certes , on sait que la censure qui sévit , que les journaleux aux bottes de la gauche , les micros ne vont pas au devant des gens de droite , mais quand même , ils peuvent sans doute ( quoique ) avoir accès à certains quotidiens .

Enfin , en voilà un qui osé rompre la chape de plomb qui s'est abattue sur notre pays , un qui en a !



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Message  livaste Ven 23 Jan - 20:49

Claude Goasguen - Laïcisme : "Je sens une attaque déguisée contre l’Eglise catholique"
Par valeursactuelles.com

Entretien avec Claude Goasguen. Le tribunal de Nîmes vient de juger irrecevable la plainte déposée par Abdallah Zekri, par la voie du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman), contre le député-maire du 16ème arrondissement de Paris Claude Goasguen. Ce dernier avait déclaré le 2 février 2014 : « cette shoah terrible qu’on n’ose plus enseigner dans les lycées tant on a peur de la réaction des jeunes musulmans qui ont été drogués dans les mosquées ».

Depuis quelques jours, la France ouvre les yeux sur les dégâts causés par l’islamisation de la société Française. La Justice semble aussi évoluer en ce sens. Et vient de faire un premier pas en donnant raison à Claude Goasguen.

Comment interprétez-vous cette décision de Justice ?

Juridiquement la décision qui a été prise est fondée. J’ai réagi immédiatement en disant que je suggérais, dans les circonstances graves où se trouve notre pays, qu’au lieu d’aller devant les tribunaux, il est important de chercher à apaiser les tensions. Le député que je suis invite par ailleurs toutes les sensibilités à venir débattre et à échanger sur ces sujets sensibles dans des lieux propices au débat démocratique.

Un an après avoir tenu ces propos, même si la justice vous a disculpé, regrettez-vous de les avoir tenus ?

Mon propos n’était pas diffamatoire. Il décrivait et décrit toujours une situation concrète qui existe et qui pose problème dans nombre d’établissements scolaires. Ce n’est pas une découverte. Déjà en 2004, le rapport Obin faisait état de difficultés rencontrées par des professeurs pour enseigner la Shoah en France. Je ne fais que relayer ce qui est écrit dans un rapport de l’Inspection générale de l’Education nationale. Je constate qu’aujourd’hui, le premier ministre Manuel Valls reprend ce propos à son compte, sans que cela ne choque personne. Les vérités qui dérangeaient hier sont devenues aujourd’hui consensuelles. D’ailleurs, le recteur de la mosquée de Paris Dalil Boubakeur, qu’on ne peut soupçonner d’islamophobie, dit désormais exactement la même chose.

Ce qu’on a vu au moment du refus de respecter le deuil national dans les écoles est l’exacte vérification, dix ans plus tard, de ce que disait le rapport Obin. Même s’il a fallu plusieurs décennies pour que nombre d’élus PS ouvrent les yeux sur ce problème, on ne peut que se réjouir que chacun prenne conscience des problèmes posés par l’islamisation de la France. L’enjeu désormais est d’apporter les bonnes réponses.

Pour vous, dans certains quartiers, l’Ecole a-t-elle baissé les bras ?

Absolument. Notamment dans l’enseignement de l’Histoire de France. Il est insensé qu’il faille supprimer des pans entiers de l’histoire de notre pays parce que des élèves refusent de l’entendre ! Et arrêtons de ne parler que des croisades, de l’Inquisition et de l’esclavage. Assumons toute notre Histoire ! Elle est belle et nous devons en être fiers. Cela fait plus de dix ans que ça dure. J’ai interpellé Najat Vallaud-Belkacem en ce sens. Il faut une réforme totale du fonctionnement de l’Education nationale et de la manière d’enseigner.

Le Gouvernement semble avoir pris des mesures qui vont dans ce sens ?

Malheureusement le gouvernement n’a pas pris la mesure de ce qui se passe. Il faut prendre ce problème dans sa globalité et surtout responsabiliser les parents, qui, ne l’oublions pas, sont responsables de leurs enfants jusqu’à leur majorité. Il est à déplorer que trop de parents d’élèves dans certains établissements n’existent plus. C’est souvent le remplaçant, un imam autoproclamé, qui sert de parent d’élève. C’est un problème terrible qu’il est impératif de régler, même s’il faudra beaucoup de temps pour apercevoir des résultats. Cette vision est bien loin, des petites réformes proposées par le Gouvernement. Il ne s’agit pas de proposer une réforme qui consiste simplement à enseigner la « morale laïque » dans les collèges, dont on ignore tout du contenu. Nous devons aussi redonner aux proviseurs et aux professeurs une autorité qu’ils n’ont plus. Des mauvaises habitudes ont été prises.

Manuel Valls a récemment parlé d’apartheid…

Il a dit une bêtise qui en plus est une contre vérité. Notre pays, au contraire est très généreux ! Vous en connaissez des pays qui pratiquent l’apartheid et qui proposent de soigner gratuitement des immigrés clandestins pour une somme d’un milliard d’euros par an, au frais du contribuable ? Moi, non. La phrase de Manuel Valls est d’une grande dangerosité. Il n’y a rien de pire en politique que d’utiliser des mots forts et de mener une politique faible.


Selon vous, tous les problèmes ont-ils été identifiés et nommés par le gouvernement ?

Je déplore de ne pas entendre grand monde parler des problèmes posés par l’immigration incontrôlée que subit notre pays depuis des années. L’immigration massive et sans contrôle crée des tensions supplémentaires dans un pays. L’immigration fait partie intégrante du problème. Ignorer ce sujet, ne pas en parler, serait la pire des choses. Il faut que le gouvernement se pose les bonnes questions. Je regrette aussi que Christiane Taubira continue sa politique qui va à l’inverse de ce que dit aujourd’hui le premier ministre. On ne peut pas vider les prisons et mettre plus de policiers pour surveiller les criminels qu’on a fait sortir ! C’est absurde.

Le gouvernement parle beaucoup de laïcité…pourquoi êtes-vous inquiet ?

J’ai l’impression que le gouvernement tente d’assimiler sans le dire, l’Eglise catholique aux détracteurs de la laïcité. C’est suspect. Sous couvert de laïcisme, ce sont les chrétiens qui peuvent en être les victimes. On a l’impression d’entendre un esprit de revanche des laïcistes. Je sens une attaque déguisée contre l’Eglise catholique. Le gouvernement semble encourager un sentiment de revanche anticléricale qui se dessine dans ce mouvement de laïcisation. Il faut faire attention ! N’oublions pas qu’aujourd’hui au Niger ce sont des chrétiens qui paient de leur vie les conséquences de ce qui se passe ici.
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