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De Pompidou à Chirac, Bourgi balance sur l'argent occulte

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De Pompidou à Chirac, Bourgi balance sur l'argent occulte Empty De Pompidou à Chirac, Bourgi balance sur l'argent occulte

Message  livaste Lun 12 Sep - 13:21

De Pompidou à Chirac, Bourgi balance sur l'argent occulte
le 12 septembre 2011 à 08h07 , mis à jour le 12 septembre 2011 à 14h38

L'avocat se dit prêt à répondre à "n'importe quel magistrat" qui voudra l'entendre sur ses accusations contre Chirac et Villepin sur des fonds occultes africains. Il met également en cause d'anciens présidents français.



Face aux lourdes accusations portées contre eux, Jacques Chirac et Dominique de Villepin ont décidé de contre-attaquer en portant plainte pour diffamation contre Robert Bourgi. Dans le JDD dimanche, cet avocat affirme avoir convoyé personnellement des millions de dollars à Dominique de Villepin pour financer la campagne présidentielle de 2002 de Jacques Chirac. Selon lui, cet argent provenait de chefs d'Etats africains. Il dit aussi avoir "participé à plusieurs remises de mallettes à Jacques Chirac, en personne, à la mairie de Paris". Sur Europe 1, l'avocat a évalué lundi matin à "vingt millions de dollars" ces sommes remises à Jacques Chirac et à Dominique de Villepin.
Il lance des accusations contre la chiraquie : qui est Robert Bourgi ?


Lundi dans Le Parisien, Robert Bourgi maintient ses accusations. "Je suis surpris que Jacques Chirac, frappé d'amnésie pour les affaires de la mairie de Paris, retrouve subitement la mémoire pour porter plainte contre moi. Ça ne me fait ni chaud ni froid pour une simple raison : c'est la stricte vérité". Il se dit prêt "répondre à n'importe quel magistrat qui voudra" l'entendre.

Pompidou, Giscard et Mitterrand aussi ?

L'avocat affirme par ailleurs que le système de financement politique occulte par des fonds africains a existé aussi sous les trois présidences précédant celles de Jacques Chirac. Le créateur de la Françafrique Jacques Foccart, son "maître", "m'a dit à moi que ces pratiques existaient même du temps de Pompidou, Giscard d'Estaing et Mitterrand. J'ai souvent croisé à Libreville François de Grossouvre, Roland Dumas", deux proches du président socialiste défunt. Mais il s'est dit "incapable" d'évaluer les sommes versées sous ces trois présidences.

Critiqué dimanche sur le timing de ces accusations, Robert Bourgi dit dans Le Parisien écouter "sa conscience", qui lui a dicté de "dénoncer ces pratiques", auxquelles il a participé "activement". Il dément participer à une manipulation destinée à discréditer la candidature de Villepin en 2012. "Personne n'était au courant de cette interview. Je n'en ai parlé à personne, pas même à mon épouse. J'ai envie d'une France propre pour mes enfants et mes petits-enfants et surtout de relations saines avec l'Afrique", assure-t-il dans Le Parisien. Sur Europe 1, l'avocat a cependant précisé ne pas pouvoir prouver ce qu'il avance. "Dans ce domaine-là, il n'y a aucune preuve, aucune trace".

Le "côté obscur de la Françafrique"

Dans une autre interview à la radio RFI, Robert Bourgi s'est qualifié lui-même de "repenti". "J'ai assisté M. Foccart dans cette partie que je qualifie de côté obscur de la Françafrique jusqu'à son départ en 1997. Et de 1997 à 2005, j'ai géré moi-même ce côté obscur de la Françafrique", a déclaré l'avocat franco-libanais. "Robert Bourgi sert sur un plateau à l'opinion publique française, à la classe politique française, ce que tous les journalistes cherchaient à savoir depuis 25 ans", s'est-il vanté, parlant de lui-même à la troisième personne. Que promettait la France à ces chefs d'Etats africains en échange de cet argent ? "Mensonges, mensonges, mensonges, promesses non tenues, c'est-à-dire que la France fermait les yeux sur certaines dérives du pouvoir en Afrique", a-t-il accusé.

Dans l'interview au Parisien, Robert Bourgi affirme que ces pratiques ont cessé en 2005 et qu'à partir de 2007, Nicolas Sarkozy, fraîchement élu président de la République, lui a dit : "Ces pratiques, je n'en veux pas". Quant à son rôle supposé auprès du chef de l'Etat sur les dossiers africains, Robert Bourgi assure voir "régulièrement" Nicolas Sarkozy. "Je lui écris des notes de temps à autre, mais dans un cadre strict d'expertise". Mais "je n'ai aucun rôle officiel ni officieux, que ce soit clair", affirme-t-il. Claude Guéant avait affirmé dimanche que l'avocat n'était pas "un conseiller" de l'Elysée.

Des propos démentis, lundi, par Jean-François Probst. Cet ancien collaborateur de Jacques Chirac a affimé au Parisien que "rien ne s'est arrêté avec Nicolas Sarkozy" concernant les financements occultes africains, malgré les envies de rupture du président français avec la politique chiraquienne. "Ce n'est pas crédible, c'est même le plus gros mensonge de sa vie", a-t-il déclaré. Selon lui, Bourgi "s'est dépensé sans compter pour Sarkozy auprès de nombreux chefs d'Etats africains lors de la présidentielle de 2007". Il aurait ainsi "filé à Libreville dès juillet 2007 et refait un deal avec Omar Bongo", le président gabonais. Montant de l'accord? "1 milliard de francs CFA".

L'avocat de Chirac minimise ses problèmes de mémoire

"Si mon client a effectivement des difficultés de mémoire, M. Bourgi en a de plus grandes que lui", a déclaré Me Kiejman, l'avocat de Jacques Chirac, interrogé par la presse à son arrivée au procès des emplois présumés fictifs de la ville de Paris lundi. "Jacques Chirac n'en est pas au point de ne pas se souvenir de ce qu'il n'a pas fait", a-t-il ajouté. Me Kiejman a précisé que la plainte de son client, "indigné", interviendrait dans les jours qui viennent. "A ce moment-là, on verra s'il y a le moindre élément de preuve à l'appui de ses diffamations", a poursuivi M. Kiejman. Il a estimé qu'on pouvait "s'interroger sur le moment" où ces accusations interviennent.






En Côte d'Ivoire, on confirme, mais le Sénégal dément
Dimanche après-midi, l'ex numéro 2 de Laurent Gbagbo, Mamadou Koulibaly, est allé dans le sens de ces accusations. "Robert Bourgi a parfaitement raison il y a eu un transfert d'argent entre Laurent Gbagbo (2000-2011) et Jacques Chirac, en 2002" a déclaré M. Koulibaly, faisant état "d'environ deux milliards de FCFA (environ trois millions d'euros) transportés d'Abidjan vers Paris par valise". L'entourage du président ivoirien déchu en France s'est également étonné dimanche que les Français semblent "découvrir" de tels financements occultes. Autre son de cloche au Sénégal. Serigne Mbacké Ndiaye, porte-parole et ministre à la présidence, a estimé que les propos de Bourgi étaient "faux et archi-faux". "Notre présidence date de 2009, on répond des faits à partir de là", a de son côté déclaré une source à la présidence sous couvert de l'anonymat, ajoutant ne pas se sentir concernés, de fait.

cela va devenir palpitant !!!
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Message  livaste Lun 12 Sep - 16:55

Bourgi:"Le Pen a reçu des fonds africains"
lefigaro.fr Mis à jour le 12/09/2011 à 18:08 | publié le 12/09/2011 à 18:08

Robert Bourgi a déclaré aujourd'hui sur BFM TV que Jean-Marie Le Pen, président du Front National à l'époque, a reçu de la part du président gabonnais Omar Bongo de l'argent en 1988.

«Les Français vont découvrir aujourd’hui que monsieur Jean-Marie Le Pen, avec le discours xénophobe, raciste qui est le sien, a fait le détour de Libreville et d’Abidjan avant les élections présidentielles de 88. Et je le dis aujourd’hui - je n’aime pas faire parler les morts - monsieur Jean-Marie Le Pen a été reçu par le président Bongo et le président Bongo a financé la campagne électorale de monsieur Jean-Marie Le Pen en 1988. Et peu de Français savent que ce raciste et ce xénophobe était allé à Libreville et à Abidjan. Et le président Bongo m’a dit, à moi, et Monsieur Foccart était présent, s’adressant à Monsieur Foccart il lui a dit : « Doyen » – comme tout le monde l’appelait- le Le Pen, il a été content de partir avec l’argent d’un Nègre. »

Cette déclaration arrive au lendemain des premières accusations de l'avocat franco-libanais, qui accuse Jacques Chirac et Dominique de Villepin d'avoir reçu, entre 1997 et 2005, 20 millions de dollars en liquide en provenance de cinq régimes africains. Des proches de l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo ont confirmé les déclarations de Bourgi.

Omar Bongo quant à lui est mort en 2009. Son fils et successeur à la tête du pays a dit "ne pas se sentir concerné" par les déclarations de Robert Bourgi.

Bourgi , la machine à faire perdre la droite ?????

Dommage qu'il ne précise pas combien lui , a perçu au passage !
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Message  livaste Lun 12 Sep - 21:17

Le barreau de Paris ouvre une enquête sur Robert Bourgi


Par lefigaro.fr
Mis à jour le 12/09/2011 à 21:10 | publié le 11/09/2011 à 18:47

- L'Ordre des avocats veut en savoir plus sur les missions que dit avoir menées Robert Bourgi. De nombreux socialistes crient au scandale.

L'Ordre des avocats de Paris souhaite faire la lumière sur le rôle exact de Robert Bourgi, qui affirme avoir servi d'intermédiaire dans la transmission de fonds occultes de chefs d'État africains envers Jacques Chirac, Dominique de Villepin et Jean-Marie Le Pen. Il a annoncé l'ouverture d'une enquête déontologique, «afin d'être exactement informé sur la réalité des missions (qu'il) déclare avoir accomplies». «Le bâtonnier rappelle que les principes qui gouvernent la profession d'avocat ne permettent en aucun cas de procéder aux actions telles que relatées dans la presse».

L'opposition aussi réclame une enquête. Le premier secrétaire du PS par intérim Harlem Désir parle de «faits qui, s'ils s'avèrent exacts, sont extrêmement graves. Si des transferts de fonds occultes de chefs d'Etat africains ont eu lieu vers des autorités de la République, c'est le fonctionnement même de notre démocratie et l'intégrité de nos institutions qui sont mis en cause». Selon lui, «il faut déterminer la véracité des faits stupéfiants décrits par M. Bourgi et la destination et l'usage des fonds occultes qu'il évoque, il faut aussi établir le rôle exact de ce conseiller officieux de Nicolas Sarkozy, et savoir qui était informé de ces agissements».

«Un des plus gros scandales de la droite» ?
Le candidat à la primaire socialiste Manuel Valls a souhaité lundi la création d'une «commission parlementaire» sur les relations entre la France et des dirigeants africains. «Je crains qu'il ne soit nécessaire d'accorder du crédit à ce type de témoignage», a déclaré sur Canal+ le député-maire d'Evry. «On sait bien, on a déjà entendu parler, on a lu» beaucoup sur «cette relation très particulière entre le pouvoir des gens de droite - mais ça a touché aussi la gauche il y a quelques années - et l'Afrique. Ca pue», a résumé Manuel Valls. «On sent bien que cette campagne présidentielle risque d'être dominée par ce type de révélations», a regretté le candidat.

Laurent Fabius s'est montré virulent en estimant que ces accusations de financement occulte pourraient représenter l'«un des plus gros scandales de la droite depuis des décennies». «Des détails comme ça, de la part de quelqu'un qui a porté des valises, moi je n'ai jamais vu ça», a ajouté l'ancien premier ministre socialiste sur RTL.



La secrétaire nationale d'Europe Ecologie Les Verts a de son côté demandé une «enquête» après l'interview de Robert Bourgi, dont «la tonalité ne sonne pas complètement faux». Ces révélations dévoilent «un climat absolument détestable», a estimé Cécile Duflot sur i-Télé . Elles «expliquent la complaisance avec certains régimes africains» et le fait que «l'enquête sur les biens mal acquis de dirigeants africains en France n'avance pas». Selon elle, à l'époque Mitterrand, «il y a eu sans doute de façon assez évidente, des pratiques similaires». Mais «quand on est écologiste, et responsable d'un parti politique, on a vraiment l'impression de pas être du même monde».

Sarkozy hors de cause

Pour l'UMP, qui attend «des éléments de preuve» comme pour les deux présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale, Gérard Larcher et Bernard Accoyer, le seul débouché possible à toutes ces accusations est judiciaire. «Quand on a des choses à dire, on le dit devant la justice», a tranché Gérard Larcher. Interrogé sur l'éventuelle création d'une commission d'enquête parlementaire, le président de l'Assemblée a indiqué qu'il ne doutait pas «que l'une ou l'autre seront saisis». Robert Bourgi s'est dit lui à la disposition de la justice.

Brice Hortefeux, vice-président du conseil national de l'UMP, a souligné en fin de journée que Nicolas Sarkozy n'était «en aucun cas» concerné par les accusations de Robert Bourgi. Sur BFM-TV, l'ancien ministre, proche du chef de l'Etat, a relevé que les accusations de l'avocat franco-libanais «portent sur une période définie qui indique bien que cela ne concerne en aucun cas Nicolas Sarkozy».

La présidente du FN, Marine Le Pen, «s'étonne» de son côté que Robert Bourgi «ne parle pas de Nicolas Sarkozy, alors qu'il fait partie du premier cercle» des proches du président de la République.

L'avocat de Jacques Chirac, Georges Kiejman, a défendu la volonté de son client de porter plainte contre le conseiller. Selon lui, l'ancien président, qui a été dispensé d'assister aux audiences de son procès sur les emplois fictifs de la Mairie de Paris pour des problèmes de mémoire, «n'en est pas au point de ne pas se souvenir de ce qu'il n'a pas fait». La plainte va être déposée dans les jours à venir, et «à ce moment-là, on verra s'il y a le moindre élément de preuve à l'appui de ces diffamations», a souligné maître Kiejman.

Fabius semble souffrir de la même maladie que Chirac , comme lui il perd la mémoire , la preuve ??
Lui qui fut le premier sinistre sous Mitterand a oublié les joyeusetés de la politique francafrique de ce dernier , oublié Monsieur Afrique !!!!!!!!!!!
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Message  livaste Lun 12 Sep - 21:20

Jean-Pierre Cot
Vingt deux ans avant Jean-Marie Bockel, Jean-Pierre Cot connaîtra la même mésaventure. Nommé en mai 1981 ministre de la Coopération par François Mitterrand, il prônait la transparence dans les relations avec l’Afrique et la fin des réseaux secrets. Il sera démissionné au bout de 20 mois et remplacé par Christian Nucci.

Pierre Marion
Directeur de la DGSE de 1981 à 1982, il échoua dans sa tentative de nettoyer les services secrets français de l’influence des réseaux Foccart et des hommes de Elf. Désavoué par le président Mitterrand qui l’avait nommé, il démissionna.

Jean-Christophe Mitterrand
« Monsieur Afrique » de son père à l’Élysée, de 1986 à 1992, il hérita du surnom de « Papa m’a dit » auprès des chefs d’État africains.

Loïk Le Floch-Prigent
Président-directeur général d’Elf, du 28 juin 1989 au 3 août 1993, il fut l’instrument consentant du président François Mitterrand qui poursuivit la pratique des financements occultes des partis politiques par l’argent secret du pétrole. Dans le scandale de l’affaire Elf, il fut la victime collatérale de la tentative balladurienne de prise du pouvoir présidentiel. Au nom de la raison d’État, il justifia les pratiques occultes de la compagnie pétrolière et en particulier le financement par Elf des guerres civiles au Congo Brazzaville et en Angola dans le cadre de la stratégie pétrolière de sa compagnie.

Eva Joly
Juge d’instruction de l’affaire Elf, elle démonta les mécanismes de la corruption et des financements occultes générés par l’argent du pétrole.

Robert Bourgi
Avocat d’affaires, conseiller personnel de plusieurs présidents du continent noir, il travailla dans l’ombre des relations franco-africaine d’abord pour Jacques Chirac et Dominique de Villepin puis pour Nicolas Sarkozy qu’il initia aux réseaux africains. Se définissant lui-même comme le fils spirituel de Jacques Foccart, il est considéré aujourd’hui comme l’homme des plus influent des réseaux françafricains.

Un petit résumé , piqure de rappel pour Fabuis qui doit être atteint par une dégénérescence ???????
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Message  livaste Lun 12 Sep - 21:24

Sous le règne de François Mitterrand, la politique africaine perd de sa clarté. Plusieurs lignes s'affrontent. Jean Pierre Cot, ministre de la Coopération, proche de Michel Rocard, souhaite modifier la nature des liens entre la France et l'Afrique. Il est vite marginalisé au profit de Guy Penne et Jean-Christophe Mitterrand, le fils aîné du Président. Cot est limogé en 1982, un an après son entrée en fonction. Guy Penne, conseiller aux affaires africaines de Mitterrand, met ses réseaux francs-maçons au service de la «Mitterrandie». En Afrique francophone, un grand nombre de dirigeants sont des «frères» ou l'ont été, même s'ils se montrent très discrets sur la question. La maçonnerie inquiète les populations africaines, notamment dans les pays musulmans, tels que le Sénégal.

Jean-Christophe Mitterrand, bon connaisseur de l'Afrique, où il a été correspondant de l'AFP, est vite surnommé par ses détracteurs «papa m'a dit». Est-il réellement un nouveau «monsieur Afrique» ou plutôt un simple missi dominici ? Car François Mitterrand suit de très près les affaires africaines. Il s'y intéresse énormément. Les décisions les plus importantes et les plus lourdes de conséquences —notamment au Rwanda— sont prises à son niveau. Mitterrand souhaite aussi que l'argent du pétrole africain serve à financer les campagnes électorales du parti socialiste. Il ne demande pas qu' ELF cesse d'aider financièrement les partis de droite, mais que l'équilibre soit rétabli entre les formations politiques françaises. Toutefois la plupart des dirigeants africains restent plus proches des héritiers des «réseaux gaullistes». Foccart et ses amis sont toujours à la manœuvre. Mais aussi Charles Pasqua qui dispose de ses propres réseaux en Afrique
http://www.slate.fr/story/6651/les-messieurs-afrique-ont-la-vie-dure
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