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Il y a 20 ans, un mur tombait

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Message  livaste Lun 9 Nov - 9:57

9-11-2009 07:15
Il y a 20 ans, un mur tombait

Il y a vingt ans jour pour jour, le mur de Berlin s'écroulait. L'Allemagne et l'Europe organisent des festivités historiques.


Le 9 novembre 1989, le mur de Berlin s’effondrait. Sous les yeux ébahis du monde entier, les Allemands de l’Est, euphoriques, tombaient dans les bras de leurs compatriotes de l’Ouest, après vingt-huit ans de séparation.

La chronologie

1949: L’Allemagne est divisée en deux : la RFA (zones britannique, française et américaine) et la RDA (zone soviétique).
Août 1961: 15 000 policiers et soldats soviétiques érigent le mur de Berlin.
Juin 1963: Le président américain John F. Kennedy lance son fameux “Ich bin ein Berliner”.
Septembre 1989: La Hongrie ouvre ses frontières à l’Autriche. Des milliers d'Allemands de l’Est s’enfuient.
9 novembre 1989: Le gouvernement est-allemand permet à ses citoyens de voyager à l'Ouest. Le mur est ouvert dans la soirée.
3 octobre 1990: L’Allemagne est réunifiée.
« Ces grandes retrouvailles étaient aussi inespérées qu’inattendues, se souvient Hans Starck, spécialiste de l’Allemagne : personne n’avait pressenti la chute du mur, même si on sait aujourd’hui qu’elle s’inscrit dans cette disparition annoncée du rideau de fer. » Ce grand soir aura agi comme un détonateur, remodelant l'Europe et le monde. Quelques mois plus tard, l’Allemagne serait réunifiée, le bloc soviétique disloqué.

Vingt ans après, l’Europe célèbre cet évènement historique. Partout, des commémorations sont prévues, comme le grand spectacle musical organisé ce lundi soir à Paris en souvenir du concert que le violoncelliste Rostropovitch avait improvisé devant le mur. Le cœur de la fête sera bien sûr à Berlin.
La chancelière Angela Merkel, qui a grandi en RDA, a prédit des festivités "très émouvantes ». Clou du spectacle : l'effondrement de dominos géants, installés sur l’emplacement de l’ancien mur. Des personnages clefs de la fin de la guerre froide, comme le russe Mikhaïl Gorbatchev et le Polonais Lech Walesa, participeront aux cérémonies, au côté de dirigeants du monde entier.
Nicolas Sarkozy pourra fanfaronner auprès de ses homologues : il a raconté ce week-end sur Facebook comment, jeune élu, il s’était retrouvé sur place et avait lui-même donné « quelques coups de pioche » il y a vingt ans.
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Message  livaste Lun 9 Nov - 10:12

L'Allemagne fête les 20 ans de la chute du Mur
LE MONDE | 09.11.09 | 08h56 •

Le 9 novembre 1989, le monde basculait. Une brèche s'ouvrait, ce jour-là, dans le mur de Berlin qui séparait l'Est et l'Ouest annonçant l'implosion de l'URSS, la fin de la guerre froide et la réunification des deux Allemagnes.

Vingt ans plus tard, le monde entier célèbre cette journée historique. Les Allemands, en premier lieu, qui se félicitent dans une immense majorité de la réunification. Pour autant, toutes les barrières qui séparaient ces deux parties de l'Allemagne ne sont pas tombées.


Klaus Schroeder, directeur de l'Institut de recherche sur l'ex-RDA, observe ainsi, dans un entretien au "Monde", qu'Allemands de l'Est et de l'Ouest demeurent "souvent étrangers les uns aux autres". Les premiers reprochent aux seconds leur "arrogance". A leur tour, les "Allemands de l'Ouest" s'agacent de ce qu'on les tienne pour responsables des différences de développement économique persistantes.

Pourtant, le fossé économique s'est considérablement réduit. Ainsi, le niveau de vie en ex-RDA – mesuré par le produit intérieur brut (PIB) par habitant – atteint désormais 70 % de celui de l'ex-RFA, contre 33 % en 1991. Mais les "nouveaux Länder" traînent encore de lourds handicaps, malgré les 1 300 milliards d'euros transférés de l'Est à l'Ouest depuis vingt ans. Le taux de chômage y est deux fois supérieur; la population, vieillissante; les jeunes diplômés partent massivement chercher du travail à l'Ouest.

Ces données générales cachent toutefois une réalité plus nuancée. Selon les mots d'Udo Ludwig, de l'Institut de prévision de Halle, l'espace oriental rassemble ainsi "des paysages florissants avec beaucoup de zones en friche".

Absences remarquées

Le déroulement des festivités

La journée va commencer par un service œcuménique dans l'église Gethsémani, un haut lieu de la dissidence est-berlinoise à l'époque de la RDA. Dans l'après-midi, la chancelière Angela Merkel (CDU) va se rendre en compagnie de témoins de l'époque et de militants des droits civiques à l'ancien poste-frontière de la Bornholmer Strasse, le premier à avoir ouvert ses portes le 9 novembre 1989.

Pour apporter une note poétique à cette journée, huit comédiens déguisés en anges vont se jucher sur les toits du centre-ville à l'endroit où passait le mur. Cette mise en scène est un clin d'œil au célèbre film de Wim Wenders Les Ailes du désir (tourné à Berlin en 1987).

Le soir, à partir de 19 heures, une "fête de la liberté" à la porte de Brandebourg, longtemps symbole d'une ville divisée et aujourd'hui emblème de la réunification, doit marquer le point culminant des célébrations du vingtième anniversaire de la chute du mur. Elle doit s'ouvrir avec un concert en plein air de l'orchestre du Staatsoper de Berlin, sous la direction de Daniel Barenboïm.

Après cette introduction en musique, commencera la phase solennelle. La chancelière allemande, le maire de Berlin, Klaus Wowereit (SPD) ainsi que les dirigeants des quatre puissances qui occupaient la ville (le premier ministre britannique Gordon Brown, le président français Nicolas Sarkozy, le président russe Dmitri Medvedev et la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton) doivent prendre la parole.

Ensuite, et ce sera le clou de la soirée, près d'un millier de blocs en polystyrène décorés par plus de 15 000 personnes en Allemagne et dans le monde entier, et disposés le long du tracé du mur entre le Bundestag et la Potsdamerplatz, vont tomber un à un par un effet de domino pour symboliser la fin du rideau de fer. Ce spectacle sera entrecoupé de discussions, concerts et diverses allocutions.

Cette fête doit être close par un grand feu d'artifice. Près de 100 000 personnes sont attendues par la municipalité. Les chefs d'Etat et de gouvernement sont ensuite conviés à la chancellerie fédérale pour un dîner.

Les principaux invités

Tous les chefs d'Etat ou chefs de gouvernements de l'Union européenne, à l'exception de Chypre, mais également le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le président du Parlement européen, Jerzy Buzek, ont répondu présent.

Deux absences remarquées : celle du président américain Barack Obama (représentée par sa secrétaire d'Etat, Hillary Clinton) et l'ancien chancelier chrétien-démocrate de la réunification Helmut Kohl, pour raisons de santé.

Parmi les acteurs de 1989, le dernier dirigeant de l'URSS, Mikhaïl Gorbatchev, l'ex-leader de Solidarnosc, Lech Walesa, et l'ancien premier ministre hongrois Miklos Nemeth sont présents.

Un sommet diplomatique en parallèle

La diplomatie n'était pas exclue de la fête populaire. En marge des festivités, des rencontres bilatérales sont prévues pour évoquer des sujets comme l'Afghanistan, l'Iran ou encore les futurs postes de l'Union européenne. Ainsi, le président Nicolas Sarkozy doit s'entretenir lundi après-midi à Berlin avec son homologue russe Dmitri Medvedev.

Ce que disent les sondages

Un Allemand sur huit souhaite le retour du Mur, selon un sondage de l'Institut d'études de marchés de Leipzig, publié dimanche 8 novembre par le quotidien Leipziger Volkszeitung. En revanche, 79 % des personnes interrogées considèrent que la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989 est un coup de chance pour tous les Allemands.

L'Institut Wahlen arrive à une conclusion plus optimiste : 86 % des Allemands considèrent la réunification allemande comme une bonne décision, selon une étude publiée jeudi 5 novembre.

Un anniversaire également fêté à Paris

Place de la Concorde, un spectacle musical et visuel doit être projeté à partir de 18 heures sur les frontons de l'hôtel Crillon et de l'hôtel de la marine. Trois cents choristes accompagneront l'apparition temporaire, comme par un coup de baguette magique, de la porte de Brandebourg, le célèbre monument enfermé dans la partie Est de Berlin et interdit aux Berlinois de l'Ouest pendant un demi-siècle.

Le premier ministre, François Fillon, le secrétaire d'Etat aux affaires européennes, Pierre Lellouche, et ses homologues allemand et polonais, Werner Hoyer et Mikolaj Dowgielewicz, doivent assister à l'événement.

Cécile Calla et Christophe Châtelot (à Paris)

N'hésitez pas à compléter ce dossier spécial sur le mur .
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Message  livaste Lun 9 Nov - 10:16

J'ai suivi cette nuit une émission passionnante sur cette période , entre autre , on y retrouvait les conditions de vie des citoyens de l'est , controlés à tous moment par les espions de la stasi , dénoncés , emprisonnés , pour " dissidence " , privés d etoute liberté .. Le paradis communiste ....
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Message  livaste Lun 9 Nov - 10:44

La Stasi hantent toujours ses victimes
Patrick Saint-Paul, correspondant à Berlin
09/11/2009 | Mise à jour : 06:37


Le débat sur le nécessaire réexamen du passé n'en finit pas d'être repoussé.

Les ombres de la Stasi continuent de planer sur l'Allemagne. La sinistre police secrète du ministère de la Sécurité d'État de la RDA a employé au total quelque 620 000 personnes, dont 12 000 ressortissants d'Allemagne de l'Ouest entre 1950 et 1989. Au moment de sa dissolution, en 1989, environ 91 000 agents officiels travaillaient pour la Stasi et 175 000 informateurs non officiels, les célèbres «IM» (Inoffizieller Mitarbeiter) : soit 1 % de la population est-allemande. La Stasi a laissé derrière elle un encombrant héritage : 195 kilomètres d'archives, qui contiennent les noms des suspects, mais également des agents et de leurs informateurs.

L'Allemagne réunifiée s'est dotée d'un organisme chargé de reconstituer et d'étudier le puzzle laissé par la Stasi, la Birthler Behörde installée dans l'ancien quartier général de la Stasi à Berlin. Chaque année quelque 100 000 Allemands viennent y rechercher les fantômes de leur passé en consultant leur dossier. Les victimes de la Stasi y retrouvent l'identité de ceux qui les ont espionnés, cherchent à comprendre ce qu'ils recherchaient et à savoir ce qu'ils ont trouvé. «Nous pensions qu'au bout de dix ans, les gens cesseraient de venir consulter leurs dossiers, explique Marianne Birthler, responsable des archives. Cela n'a pas été le cas. Au contraire.»

Les archives sont ouvertes au compte-gouttes, aux chercheurs et aux journalistes. Faute de moyens et de volonté politique, il n'y a pas eu d'étude systématique des documents, notamment pour faire la lumière sur la question la plus sensible : l'étendue de l'influence de la Stasi en RFA. La volonté de réconciliation a pris le dessus sur le devoir de vérité… En attendant que les responsables et leurs victimes disparaissent peu à peu.

Régulièrement, les archives laissent échapper des secrets, telles des bombes à retardement. Ainsi a-t-on a appris l'été dernier, que Karl-Heinz Kurras, le policier ouest-allemand, qui a abattu le leader étudiant de gauche Benno Ohnesorg en juin 1967, était un espion de la Stasi. Le débat sur le nécessaire examen du passé a alors ressurgi au Bundestag : un texte de loi proposait d'examiner notamment combien d'employés de l'administration actuelle avaient collaboré à la Stasi et dans quels secteurs. Avant d'être enterré de nouveau par les députés.

Dénonciations sur Internet
Sur Internet, les victimes dénoncent leurs anciens tortionnaires : ceux qui interdisaient à leurs enfants de passer leur bac pour des motifs politiques, ceux qui ont brisé leur carrière parce qu'ils refusaient de collaborer à la Stasi, ceux qui ont détruit leur vie. Et s'exposent ainsi à des poursuites judiciaires.

Dans l'État régional du Brandebourg, surnommé la petite RDA, 4 députés du parti de la gauche radicale ex-membre de la Stasi, Die Linke, ont été élus lors des élections régionales du 27 septembre. Cela n'a pas empêché le patron SPD du Brandebourg, Matthias Platzeck, de faire alliance avec Die Linke pour former son prochain gouvernement. Au nom de la «réconciliation» et pour donner une «chance à ceux qui ont changé». Pour Stephan Hisberg, député du SPD et militant du mouvement démocratique en RDA à la fin des années 1980, c'est « un coup porté aux valeurs démocratiques». Pour lui, «quelqu'un ayant participé activement à briser un autre homme, moralement ou physiquement, en le livrant à un système totalitaire, n'a rien à faire dans un parlement démocratique».



I faut balayé devant notre porte , chez nous aussi nous avons eu nos infiltrés , communistes et autres extrêmes gauchistes qui collaboraient , espionnaient , préparaient le grand soir ... pas sûr qu'il n'y en ait plus d'ailleurs , le grand soir , certains en rêvent encore et sont prêts à toute aide , pour transformer la France en paradis communiste ( ou trotskyste )!
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Message  Georges Lun 9 Nov - 12:42

"I faut balayé devant notre porte , chez nous aussi nous avons eu nos infiltrés , communistes et autres extrêmes gauchistes qui collaboraient , espionnaient , préparaient le grand soir ... pas sûr qu'il n'y en ait plus d'ailleurs , le grand soir , certains en rêvent encore et sont prêts à toute aide , pour transformer la France en paradis communiste ( ou trotskyste )!"

D'aprés toi des militants de l'extrême gauche auraient été des espions de la Stasi, c'est de la pure diffamation. Ce n'est pas parce que tu te crois anonyme derriére ton PC que tu as le droit de dire n'importe quoi et d'insulter ceux qui ne pensent pas comme toi.
Tu ne peux pas t'empécher de faire des procés d'intention, et je ne voix pas en quoi cela fait avancer les débats.

Et le mur entre les riches et les pauvres, on en fait quoi ?

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Message  livaste Lun 9 Nov - 12:55

il y a eu effectivement des espions , en France , à l solde de l'URSS , et des pays satellites , et tu le sais parfaitement !
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Message  Georges Lun 9 Nov - 13:11

livaste a écrit:il y a eu effectivement des espions , en France , à l solde de l'URSS , et des pays satellites , et tu le sais parfaitement !

Evidemment, comme il y a eu des espions français en URSS. Les espions agissent rarement par convictions, mais pour l'argent et travaillent pour ceux qui paient le mieux

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Message  livaste Lun 9 Nov - 13:23

quelques exemples , et ce n'était pas pour l'argent

n 1944 est recruté par le KGB "West",un résistant,par "Henry"."West" entre a la DGER-Direction Générale des Etudes et Recherches.Il est affecté au département Grande-Bretagne,puis Italie.D'après son dossier il aurait fourni des informations sur les services secrets francais,britaniques et italiens,avant d'etre renvoyé en 1945.Son pseudo est devenu "Ranol".Mais il reste en contact avec ses anciens collegues.Il recrute "Ratyen" officier du SDECE-le successeur de la DGER,mais ce dernier en est renvoyé en 1946.En 1947 "West" recrute "Chouan"-ou "Torma" et "Nor" -ou "Norman".Au cours du 1er semestre de 1947,la station du KGB a Paris a expédié 1147 documents sur les services secrets francais,dont 92 ont trait a des opérations menées contre l'URSS et 50 contre d'autres centrales de renseignement."Chouan" et "Nor" sont mutés a la section d'études politiques du SDECE."Chouan" a travaillé un tempa au département Amérique du SDECE et s'oriente en 1949 vers les affaires du bloc soviétique."Nor" est spécialiste du renseignement italien.Parmi les contacts de "West","Pascal",envoyé par le SDECE a l'étranger en 1946,ainsi que des membres des sections travaillant sur l'Italie et l'Espagne. selon Piotr Deriabin,officier du KGB passé a la CIA a Vienne en 1954,Ivan Ivanovitch Agayants-chef de station du KGB a Paris de 1946 a 1948,s'était vanté lors d'une conférence au Centre d'avoir infiltré le SDECE,parlant de "prostituée que j'ai mise dans ma poche"

En 1953 ,parmi les agents "particulierement précieux" du KGB ,4 fonctionnaires du SDECE,noms de code a la Centrale soviétique "Nossenko",Chirokov",Korablev","Doubravine".Sans plus de précisions sur les postes qu'ils occupaient,les informations qu'ils auraient transmis,etc.... Source:Le KGB contre l'Ouest,Vassili Mitrokhine,Christopher Andrew,page 676.La liste aurait été recopiée par Mitrokhine,qui travaillait aux archives du KGB et qui contacta les services secrets britanniques en 1992

En 1956,un agent du KGB a Paris (en poste a l'ambassade?non précisé ),nom de code "Drozdov",signala a Moscou qu'une amie de sa femme,travaillant au SDECE ,était devenue enceinte apres une nuit avec un "amant de rencontre".Sur ordre du Centre,il aida financièrement cette personne ,nom de code "Roza";apres la naissance de sa fille l'année suivante.En 1961,comprenant que "Roza " repousserait toute tentative directe d'en faire un agent du KGB,elle fut recrutée sous "faux pavillon"."Drozdov" réussit a la convaincre de fournir régulièrement des informations a une "organisation progressiste" pour l'aider,organisation dont lui,Drozdov faisait partie.Apres son recrutement,"Roza'" fut traitée par "Jeannette",qui prétendait appartenir a ce groupe. pages 649,680,et 910 du livre "KGB contre l'Ouest" ,Mitrokhine et Andrew.

Extrait de "Le KGB contre l'Ouest" 1917-1991.Mitrokhine et Andrew.pages 230,231,649,680, 855, et 910
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Message  livaste Lun 9 Nov - 13:36

[quote="Georges"]"I faut balayé devant notre porte , chez nous aussi nous avons eu nos infiltrés , communistes et autres extrêmes gauchistes qui collaboraient , espionnaient , préparaient le grand soir ... pas sûr qu'il n'y en ait plus d'ailleurs , le grand soir , certains en rêvent encore et sont prêts à toute aide , pour transformer la France en paradis communiste ( ou trotskyste )!"

D'aprés toi des militants de l'extrême gauche auraient été des espions de la Stasi, c'est de la pure diffamation. Ce n'est pas parce que tu te crois anonyme derriére ton PC que tu as le droit de dire n'importe quoi et d'insulter ceux qui ne pensent pas comme toi.

y aurait il déjà une menace ??
On sait bien que dans les paradis communistes , oser revéler la vérité sur le régime , grâce aux taups , conduisait au goulag !
Et l'on sait aussi que l'extrême gauche nie encore et toujours les crimes communistes , eux , ne sont pas encore poursuivis par la justice pour négationnisme !
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Message  Georges Lun 9 Nov - 13:44

"quelques exemples , et ce n'était pas pour l'argent"

Ca ! Tu n'en sais rien. Et je ne vois pas de gauchiste la dedans.


Je ne fais aucune menace, mais tu sais parfaitement que l'anonyma du net est fictif.

"Et l'on sait aussi que l'extrême gauche nie encore et toujours les crimes communistes , eux , ne sont pas encore poursuivis par la justice pour négationnisme !"

Encore un mensonge. Nous avons condamné à de nombreuses reprises les crimes de l'ex URSS, de la Chine, de la Corée du Nord, des Kmers rouge... et au NPA nous sommes totalement contre le "socialisme à la soviétique" et nous l'avons d'ailleurs écrit dans nos statuts de créations de notre parti.

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Message  livaste Lun 9 Nov - 13:51

que tu condamne , c'est une chose et même une bonne chose , mais ce n'est pas l'attitude de l'ensemble de l'extrême gauche , qui ose écrire que si le communisme a échoué , c'est que Staline n'est pas allé jusqu'au bout de sa logique , logique qui a quand même mis tout le monde au pas , par l'intervention des chars et des goulags .
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Message  Georges Lun 9 Nov - 14:39

livaste a écrit:que tu condamne , c'est une chose et même une bonne chose , mais ce n'est pas l'attitude de l'ensemble de l'extrême gauche , qui ose écrire que si le communisme a échoué , c'est que Staline n'est pas allé jusqu'au bout de sa logique , logique qui a quand même mis tout le monde au pas , par l'intervention des chars et des goulags .

Tu ne dis pas qui l'a écrit.

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Message  Invité Lun 9 Nov - 16:06

20 ans après la chute du Mur, enfin la Vérité: on vient de nous apprendre que not' Président a joué un rôle essentiel dans la chute du mur datant du 9 novembre: n'écoutant que son courage, le brave homme a donné trois coups de marteau sur le béton armé.... dans la semaine du 16 novembre (bah oui, pas téméraire non plus, le Sarko) clown

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Message  livaste Lun 9 Nov - 19:05

tu peux rire , mais jaune quand on repense aux réactions de mitterand , qui devait regretter qu'un peuple reprenne sa liberté !


Les hésitations de Mitterrand

Au moment de la chute du Mur, le président français, François Mitterrand n’a pas su prononcer un grand discours de circonstance. Il s’est par la suite montré méfiant vis-à-vis de la réunification allemande. Mais il n’a apparemment pas cherché à l’entraver...


Dans le second tome de ses mémoires, Helmut Kohl juge que « sur la question allemande, Mitterrand n’avait pas de stratégie claire ». « Deux cœurs battaient dans la poitrine de Mitterrand. L’un en faveur du soulèvement révolutionnaire en RDA. L’autre pour la France, pour son rôle et son rang en cas de réunification de l’Allemagne », poursuit l’ancien chancelier. Le jugement sur l’attitude du président français d’alors au moment de la chute du Mur, n’est pas tendre : il vient pourtant de celui qui se considère comme son « ami ». Celui avec qui François Mitterrand s’était tenu main dans la main à Verdun le 22 septembre 1984, symbole de la réconciliation franco-allemande. Et celui qui avait versé des larmes le 11 janvier 1996 lors de la cérémonie à Notre-Dame en l’honneur du chef d’Etat défunt.

La diplomatie, en 1989, du dirigeant français est aujourd’hui souvent aujourd’hui l’objet de critiques. De fait, lors de la chute du Mur de Berlin, il n’a pas prononcé de grands discours ni fait de grands gestes comme on aurait pu l’attendre d’un homme féru d’histoire. Et surtout, il s’est rendu en visite officielle en RDA le 22 décembre 1989, quelques semaines après l’évènement, moins de dix mois avant la réunification... Ce que sur le site Rue 89, le journaliste Pierre Haski, alors envoyé spécial de Libération à Berlin-Est, qualifie de voyage « qui semble bien décalé avec le souffle de l’Histoire ». « François Mitterrand est venu conforter une identité est-allemande pourtant moribonde (...) afin de retarder une réunification qui vient contrarier ses rêves d’intégration européenne », commente-t-il. Dans ses Mémoires, Kohl raconte que son « amitié » a beaucoup tangué quand le locataire de l’Elysée a proclamé « la solidarité des Français avec la République démocratique allemande »...

Certains témoignages vont encore plus loin. Ainsi dans le troisième tome de son livre « Verbatim », Jacques Attali, l’ancien conseiller spécial de François Mitterrand, donne de ce dernier l’image d’un homme angoissé à l’idée de la réunification. Dans une lettre dont le contenu a récemment été rendue publique, Charles Powell, secrétaire privée de la première ministre britannique de l’époque, fait dire au dirigeant français : « l’Allemagne n’a jamais trouvé ses frontières, le peuple allemand a constamment été en mouvement. Et il l’est aujourd’hui ». Résultat : avec la réunification, l’Allemagne pourrait « reprendre des territoires qu’elle a perdus pendant la guerre »... Ni plus ni moins, il s’agit là d’une comparaison avec l’Allemagne nazie ! Selon certaines sources soviétiques, Mitterrand aurait même rencontré Gorbatchev en décembre 1989 pour lui demander s’opposer à l’unité allemande...

Laurent Ribadeau Dumas
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Message  Invité Lun 9 Nov - 19:43

L'autre tache, Thatcher, a eu la même réaction, pas particulièrement intelligente, mais qui faisait ressurgir les traumatismes enfouis des dizaines d'années auparavant. La "Grande Allemagne" faisait peur à tout le monde. Wink

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