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à une semaine de l'élection , dans les autres pays européens

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Message  livaste Lun 1 Juin - 7:42

Entre l'Espagne et l'UE, la lune de miel est finie
Par Cécile Thibaud, publié le 31/05/2009 11:30

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Les socialistes vantent leurs réformes, mais appuient le libéral Barroso à Bruxelles. Difficile à expliquer à une population par ailleurs déçue par le refus européen du projet de Constitution.

De notre correspondante

Comment faire campagne à gauche à Madrid et voter pour un homme de droite à Bruxelles? C'est le dilemme des socialistes espagnols. La situation est incommode pour Juan Fernando Lopez Aguilar, tête de liste du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE). Meeting après meeting, il défend "une Europe de gauche, plus solidaire", et conspue les dérives supposées de l'Europe libérale.

Et pourtant, José Luis Rodriguez Zapatero, tout socialiste qu'il est, appuiera la reconduction, à la tête de la Commission, de José Manuel Barroso, défenseur sans détour de cette ligne libérale. "Question de courtoisie", commente simplement Lopez Aguilar, peu désireux de détailler le casse-tête bruxellois.

Les sondages pronostiquent une participation aux urnes le 7 juin prochain située autour de 30%: la lune de miel entre Madrid et l'UE est finie. "Le refus européen du projet de Constitution a cassé quelque chose, observe le politologue José Ignacio Torreblanca, directeur local de l'European Council of Foreign Relations. Les Espagnols avaient appuyé massivement le texte. Son rejet a été une douche froide."

Lopez Aguilar prétend faire de ce handicap un avantage. "L'Europe n'est plus la panacée, c'est vrai. Mais ne soyons pas complices d'un virage néoconservateur. C'est le moment de dire quelle Europe nous voulons", argumente-t-il, rappelant que les réformes sociales du gouvernement Zapatero "sont une référence pour toute la gauche européenne". Bien que le même Zapatero soutienne

En Espagne ce serait donc 70% d'abstention !!!!!!
Qui dit mieux ?
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Message  Invité Lun 1 Juin - 13:01


Responsable : Sandrine FERREIRA ANTUNES

Journaux suivis : Diário de notícias, Público, Jornal de Notícias, Expresso





« Vital Moreira affirme que les jeunes sont plus conscients de l’importance de l’Union européenne », Público, 21 mai 2009

La tête de liste du PS aux élections européennes, Vital Moreira, a affirmé que les jeunes portugais ont clairement plus conscients de l’importance de l’Union européenne que la majorité de la population.



« Sondage: Rangel affirme que le partage des résultats issus du sondage Renascença, Expresso et SIC met en avant la forte possibilité de gagner les élections », Público, 21 mai 2009.

À un jour de l’inauguration de la campagne officielle et à 15 jours des élections européennes, le PS apparaît en tête des sondages, 2,2% devant le PSD, ce qui place les deux partis en situation de partage. Cependant, répondant à cette étude d’opinion menée par les médias Renascença, SIC et Expresso, les partis disent centrer leur attention sur l’abstention qui pourrait provoquer un revirement des résultats.



« Paulo Rangel (PSD) appelle à voter pour les élections européennes afin de combattre le gouvernement et de changer le Portugal », Público, 18 mai 2009.

Paulo Rangel, qui est à la tête de la liste sociale-démocrate pour les élections européennes a lancé un appel énergique au vote pour le 7 juin, en affirmant qu’il faut donner un signe clair de résistance et de combat à ce gouvernent négligent et incompétent. “Que personne ne reste chez soi”, a dit le candidat.



« Élections européennes : le PSD propose de vaincre la crise avec des fonds européens », Público, 17 mai 2009

Le PSD distribue à partir de demain ses affiches pour la campagne aux élections européennes du 7 juin. “Vaincre la crise avec les fonds européens – vous signez?” est l’un des principaux messages qui figure sur les affiches où apparaît Paulo Rangel, tête de liste du parti.



« La tête de liste du PS accuse les autres partis d’avoir des listes « fantômes » », Público, 17 mai 2009

La tête de la liste du Parti Socialiste pour le Parlement européen, Vital Moreira, a reproché aux autres partis d’avoir des listes « fantômes » dont on ne connaît que les têtes de listes.



« Sans intérêt », Diário de notícias, 15 mai 2009

Selon António Vitorino, les Portugais ne devraient pas invoquer le “manque d’intérêt” pour ne pas voter aux élections européennes car il s’agit bien de l’intérêt des citoyens qui se joue au jour le jour au sein du Parlement Européen.



« L’Europe doit profiter de la crise pour réfléchir sur elle-même », Público, 14 mai 2009

Pour Elisa Ferreira, candidate du PS aux élections européennes, l’Europe devrait profiter de la crise pour réfléchir si elle veut persévérer sur la voie du libéralisme à outrance. Selon Ferreira, si l’Europe insiste sur ce choix, la vie des citoyens européens se détériorera.



« Euro-analphabètes », Diário de notícias, 13 mai 2009

Selon Vasco Graça Moura, le gouvernement portugais est aussi euro-analphabète que les citoyens qui se préparent à voter pour les élections européennes. Le Portugal est un pays d’Euro-analphabètes, un peuple coupé de son histoire, de sa langue et de sa culture. Le système éducatif est le principal responsable de cette situation mais l’Europe partage une certaine responsabilité: elle est trop difficile à comprendre, trop lointaine et ne nous pousse pas les citoyens à s’y intéresser.



« Cavaco demande aux partis politiques que le débat politique se fasse au niveau de la substance et non pas de la rhétorique », Público, 8 mai 2009

Le Président Cavaco Silva a lancé un appel aux partis politiques en leur demandant que les débats de la campagne électorale européenne soient des débats de fond.



« Le pays irréel », Diário de notícias, 7 mai 2009

Selon Maria José Nigueira Pinto, il est erroné de confondre les élections européennes avec les élections nationales, tout comme il est ridicule de créer un “bloc central” pour sauver le pays de la crise. Cette culture de l’ “irréel” pourrait être dangereuse.



« Les députés européens disent que la crise dominera le prochain mandat », Diário de notícias, 7 mai 2009

À un mois des élections européennes, les députés européens défendent que la crise sera le principal sujet à débattre pendant la campagne électorale.



« Le PSD accuse le Gouvernement de s’allier avec le PS dans la campagne pour les élections européennes », Público, 6 mai 2009

Manuela Ferreira Leite, responsable politique du PSD, accuse le gouvernement de se joindre au PS pendant la pré-campagne aux élections européennes en faisant en sorte que son action se confonde avec celle du PS.



« Rangel soutient que l’état est en voie de disparition et que la fédération européenne pourrait être la solution », Público, 6 mai 2009

Le chef parlementaire et tête de liste du PSD aux élections européennes, Paulo Rangel, considère que l’Etat portugais est en voie de disparition et que le fédéralisme européen pourrait être la réponse, qui, par ailleurs, donnerait plus de pouvoir aux petits pays.

http://dev.ulb.ac.be/cevipol/fr/dossiers_portugal-.html

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Message  Invité Lun 1 Juin - 13:11

Élections européennes : l’abstention, un enjeu du scrutin ?

le 28 04 2009

Le ParlementParlementOrgane collégial qui exerce le pouvoir législatif (adoption des lois et contrôle du pouvoir exécutif). En France, le Parlement est composé de deux chambres : l’Assemblée nationale et le Sénat. européen, dont les élections se dérouleront du 4 au 7 juin 2009, bénéficie d’une image positive, mais reste trop peu connu des Européens. Comment remédier à cette situation ? Quelles sont les attentes exprimées par les Européens pour ces élections ?
L’abstention, une tendance générale à la hausse avec des situations variables au sein de l’Union européenne



Le contexte institutionnel général

Le 7 juin 2009, les électeurs français de métropole se rendront aux urnes pour élire 72 députés européens dans 8 circonscriptions, composées de plusieurs régions. Du 4 au 7 juin, 736 députés seront élus pour représenter les 27 États membres de l’Union européenne (UE) au Parlement européen, dans le cadre du traité de Nice toujours en vigueur. Si le traité de Lisbonne entre en vigueur après cette élection et si le correctif prévu par le Conseil européen de décembre 2008 est ratifié, la France aura 2 députés supplémentaires et le nombre total de députés du Parlement passera à 754.

A la différence des votes nul et blanc, votes de "non choix", l’abstention est un " non vote ". Elle est le fait d’électeurs inscrits sur les listes électorales qui ne participent pas à l’élection. Le vote est obligatoire en Belgique, en Grèce et au Luxembourg.

L’abstention : un phénomène paradoxal ?

9 pays membres participent aux élections européennes depuis 1979 (Allemagne, Belgique, Danemark, France, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni). Aux élections de 1984 viennent s’ajouter l’Espagne et le Portugal et, en 1994, l’Autriche, la Finlande et la Suède. En l’espace de 30 ans, avec les élargissements successifs de l’UE, l’augmentation du nombre et des pouvoirs des députés, le PE est passé d’un organe purement consultatif à une institution co-législative clef. Cependant, depuis 1979, la participation des électeurs aux élections européennes décline dans la plupart des États membres (y compris en Belgique et en Grèce). Seuls le Danemark, la Finlande, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Royaume-Uni enregistrent une participation électorale à la hausse pour ce type d’élection. En moyenne, entre 1979 et 2004, date de la précédente élection européenne, le taux d’abstention dans l’Europe des Quinze est passé de 37% à 47,2%.

En France, l’abstention n’a cessé de progresser aux scrutins européens, avec une exception en 1994 (39,3 % en 1979, 43,3% en 1984, 51,2% en 1989, 47,3 en 1994, 53,2% en 1999 et 57,2 % en 2004). En 2004, l’abstention aux élections européennes dans les nouveaux États membres atteint 59,7% en moyenne, avec un minimum pour Malte (17,6%) et un maximum pour la Slovaquie (83%). En 2005, le référendumRéférendumProcédure de vote permettant de consulter directement les électeurs sur une question ou un texte, qui ne sera adopté qu’en cas de réponse positive. portant sur le projet de constitution européenne avait vu un recul de l’abstention en France : seulement 30,63% des inscrits n’étaient pas aller voter.


Causes et remèdes à l’abstention


Un désintérêt relatif pour un scrutin jugé sans enjeu réel.

* La faible connaissance de l’Union européenne est avancée comme le principal facteur de l’abstention : les citoyens ne savent pas pour qui ni pour quoi ils votent. Peu d’électeurs savent que 80% de la législation nationale est conçue au niveau européen avant d’être transposée au niveau national : les eurodéputés restent des personnes peu visibles et leur pouvoir réel est en grande partie méconnu.

* En France, comme ailleurs dans l’Union européenne, ces élections sont considérées par les partis, les médias et les électeurs comme un scrutin de "second ordre", sans enjeu réel et peu susceptibles de provoquer une réelle alternance politique. Par ailleurs, l’objectif de ces élections est souvent détourné par l’opposition et les citoyens, qui y trouvent un moyen de sanctionner le gouvernementGouvernementOrgane collégial composé du Premier ministre, des ministres et des secrétaires d’Etat chargé de l’exécution des lois et de la direction de la politique nationale. en place.

Quels remèdes à l’abstention ?

* Mieux communiquer : partant de l’idée que la réticence à l’égard de l’Europe serait due à une connaissance insuffisante de ce qui s’y fait, la Commission européenne s’est dotée, dès 1974, d’un instrument de référence pour l’analyse de l’opinion publique européenne, les enquêtes Eurobaromètre. Après les référendums du printemps 2005, elle lance le programme intitulé "Plan D comme Démocratie, Dialogue et Débat" avant de publier, en février 2006, un livre blanc sur la politique de communication européenne. De son côté, le PE a entrepris un important travail de réflexion sur son rôle en tant que défenseur des intérêts des citoyens faisant contrepoids à la Commission et au Conseil. Cela se traduit par une meilleure mise en valeur des débats autour de dossiers sensibles, a priori propices à des discussions de fond et susceptibles d’attirer l’attention des médias et des citoyens.

Outre les remèdes au "déficit de communication", d’autres solutions ont été proposées :

* élaborer une campagne électorale dans laquelle chaque familleFamilleGroupe de personnes liées par des liens de filiation et d’alliance. politique mène des campagnes similaires sur des questions européennes dans chaque État membre (à l’instar du Parti vert européen ou du mouvement Libertas) ;

* coupler l’élection au Parlement européen avec une élection nationale ou locale (comme au Luxembourg) ;

* porter un effort sur la pédagogie des enjeux du scrutin ou offrir la possibilité de voter par courrier ou par internet.

Les enjeux des élections européennes de juin 2009

Qu’attendent les citoyens des élections européennes de juin 2009, à quels thèmes donnent-ils la priorité ?


* L’enquête Eurobaromètre sur l’opinion publique dans l’Union européenne, parue en décembre 2008, révèle l’importance des préoccupations liées à la crise financière. Si 71% des participants à l’enquête se déclarent "particulièrement pessimistes" à propos de la situation de l’économie mondiale, la situation de l’économie européenne est perçue sous un jour légèrement plus positif comparée à l’opinion que les Européens se font de leur économie nationale ou de l’économie mondiale. L’appartenance à l’UE est toujours considérée comme positive par les Européens. Le soutien à l’UE demeure l’opinion majoritaire (53%) tandis que seulement 15% des Européens considèrent que l’appartenance de leur pays à l’Union est une mauvaise chose.

* Concernant les attentes des électeurs, le sondage de l’institut LH2 du 6 mars 2009 confirme que les sujets sur lesquels les sondés estiment que les solutions n’existent qu’au niveau européen sont l’environnement (82%) et l’immigration (74%). Dans le contexte de crise économique et financière, ils attendent également davantage de coordination économique et de politique sociale au niveau européen.

* Des éléments nouveaux sont par ailleurs susceptibles de modifier la donne. D’abord, l’internet, dont l’influence a été soulignée lors de la campagne qui a abouti au rejet du traité constitutionnel de 2005. Ensuite, dans la perspective des élections de juin 2014, et dans le cas où le traité de Lisbonne serait adopté d’ici là, chaque famille politique européenne serait encouragée à donner un visage à son action par la mise en avant d’un candidat, le traité faisant obligation au Conseil européen de choisir son candidat à la présidence de la Commission européenne en se fondant sur le résultat des élections au Parlement européen.

http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/elections-europeennes-2009/elections-europeennes-abstention-enjeu-du-scrutin.html

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