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Irlande du Nord : des craintes pour la paix

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Message  Invité Dim 8 Mar - 21:21

Irlande du Nord : des craintes pour la paix

Depuis dix ans, l'Irlande du Nord n'avait plus connu ce type de violences. Samedi soir, un commando a attaqué une caserne britannique à Massereene, dans le comté d'Antrim, à environ 25 km au nord-ouest de Belfast, tuant deux soldats. Quelque 30 à 40 coups de feu auraient été tirés.

Les assaillants, au nombre de trois, deux tireurs et un complice au volant d'une voiture, selon la police, armés de mitraillettes, ont ouvert le feu alors que les livreurs de pizza venaient d'arriver à la base.
Sans hésitation, ils se sont ensuite approchés pour faire feu à nouveau sur les blessés à terre. Les deux soldats tués étaient âgés d'une vingtaine d'années et devaient être envoyés dimanche en Afghanistan. Deux militaires et deux livreurs de pizza ont été blessés. Une des personnes est dimanche soir dans un état critique.

Trente ans de violences entre catholiques et protestants

Dimanche, l'IRA-véritable, branche dissidente de l'Armée républicaine irlandaise (IRA), a revendiqué l'attaque auprès d'un quotidien de Dublin, The Sunday Tribune. La crainte d'une déstabilisation d'un processus de paix encore fragile renaît. Pendant 30 ans, les violences interconfessionnelles entre les républicains catholiques de l'IRA et les paramilitaires unionistes protestants ont divisé l'Irlande du Nord. Environ 3.500 personnes ont y ont trouvé la mort. En 1998, l'accord du Vendredi Saint, signé en 1998, avait mis fin à ce conflit. L'IRA, la principale milice catholique d'Irlande du Nord, a renoncé à la violence et démantelé son arsenal en 2005.

Toutefois, au cours de ces derniers 18 mois, les différents groupes républicains dissidents, opposés au processus de paix et à l'origine d'une recrudescence de la violence dans la province ces derniers mois, étaient pointés du doigt. L'IRA-véritable, né en octobre 1997 d'une scission avec l'Armée républicaine irlandaise (IRA), est le plus important de ces groupes. Il s'est fait connaître en commettant le 15 août 1998 l'attentat d'Omagh, le plus sanglant en trente ans de conflit avec 29 morts, affichant son refus de l'accord du Vendredi Saint, conclu quelques mois plus tôt.

Un acte unaniment condamné

Cette attaque, unanimement condamnée par la classe politique en Irlande du Nord, est sans précédent en plus de dix ans. Le dernier soldat britannique décédé en Irlande du Nord avait été tué en février 1997. Le Premier ministre britannique Gordon Brown a dénoncé dimanche un acte «lâche» et promis qu'«aucun meurtrier ne pourra(it) faire dérailler un processus de paix qui a le soutien des gens en Irlande du Nord».

Le Premier ministre nord-irlandais Peter Robinson, chef du Parti unioniste démocrate (DUP/protestant), a condamné un «acte vain (commis) par ceux qui n'ont aucun soutien public et aucune perspective de réussir dans leur campagne». «Cela ne réussira pas», a-t-il estimé. Gerry Adams, le leader du parti catholique Sinn Fein qui cohabite avec le DUP au sein du gouvernement régional, a dénoncé une «attaque contre le processus de paix», «injustifiée et contre-productive».

http://www.leparisien.fr/international/irlande-du-nord-des-craintes-pour-la-paix-08-03-2009-435364.php

Irlande: crise économique

L'Irlande est le pays le plus touché par la récession dans la zone euro. Le gouvernement a annoncé un plan de redressement financier, avec une réduction budgétaire de 18 milliards d'euros prévue en 3 ans. Le revenu des fonctionnaires sera réduit de 3 à 9% en fonction de leur salaire.


Une équipe d'ARTE Info est allé constater les effets de ce désastre économique à la frontière de l'Irlande du Nord, où Dundalk, une ville de 35.000 habitants, devient peu à peu une ville fantôme. Les Irlandais font leurs courses de l'autre côté de la frontière, au Royaume Uni, où les prix sont moitié moins chers du fait de la chute de la Livre face à l'Euro. Epine dorsale de la ville, l'industrie supprime aussi des emplois. Pour éviter de licencier, les entreprises appliquent désormais la semaine de trois jours.

http://www.arte.tv/fr/2476622.html

est ce que le fait que l'Irlande soit le pays de l'UE le plus touché par la crise et la subit de plein fouet, relance les haines d'antan ?

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Message  Invité Dim 8 Mar - 21:37

Les Polonais d’Irlande hésitent à partir


Les Polonais venus tirer profit de la croissance du « tigre celtique » se demandent vers où aller maintenant. Certains ont déjà plié bagage, mais beaucoup se sentent plus à l’abri en Irlande




Agata ne sait pas encore ce qu’elle va faire mais songe à partir d’Irlande. « Je vois les changements, la crise. Je crois que je rentrerai d’ici à la fin de l’année », lâche, évasive, cette Polonaise de 27 ans installée à Dublin : « J’ai peur de rester ici. » L’agence qui l’emploie, Money Expert, sert d’intermédiaire à ses compatriotes qui rêvent de réaliser leur projet immobilier en Pologne.

Comme sa sœur et son beau-frère en train de se faire construire une maison au pays. « Ils se sont rencontrés à Dublin, se sont mariés en Pologne et ont une petite fille, Maria-Teresa, née en Irlande, raconte-t-elle. Ils sont tous deux aides-soignants dans un hôpital public. Leur emploi n’est pas menacé. Eux vont rester tant qu’ils pourront. »

Son jeune frère, chef cuisinier, est aussi assuré de rester. En revanche, son copain architecte est rentré « avec même un meilleur salaire ! » ajoute fièrement Agata. Une exception. La profession est plus demandée en Pologne qu’en Irlande, où le secteur de la construction se contracte.

Le polonais, deuxième langue d’Irlande
La main-d’œuvre polonaise embauchée sur les chantiers est la première à avoir plié bagage dès le retournement de la conjoncture l’an dernier. Arrivés à partir de mai 2004, sitôt leur pays membre de l’Union européenne, les autres s’étaient fait embaucher dans l’hôtellerie-restauration, la santé, l’agriculture, l’entretien, les centres d’appel ou encore la garde d’enfants.

Au point que le polonais est réputé être la deuxième langue d’Irlande devant le gaélique. Sur les 250 000 Polonais estimés dans l’île au faîte de sa prospérité fin 2007, ils seraient 200 000 aujourd’hui à y vivre encore, selon plusieurs évaluations. Mais la tendance est orientée à la baisse.

« Je n’ai plus de passagers polonais », témoigne un chauffeur de taxi. Un quotidien irlandais vient de cesser la parution de son supplément polonais du mercredi lancé depuis 2006. La compagnie irlandaise à bas coûts Ryanair, qui avait multiplié les destinations entre les deux pays, réduit son offre. Le consulat polonais à Dublin enregistre certes toujours des arrivées. Mais il est surtout débordé de demandes sur les conditions de transfert en Pologne des droits accumulés en travaillant ici.

"Certains partent parce qu’ils ont atteint leur but"
« La plupart sont venus en Irlande avec le projet d’y rester de quatre à cinq ans, se faire de l’argent et acquérir une expérience pour ensuite repartir, analyse l’ambassadeur de Pologne en Irlande, Tadeusz Szumowski. Ce n’était pas de l’émigration. Il s’agit de la libre circulation en Europe. » Âgés de 25 à 35 ans, ces migrants très mobiles sont restés locataires.

« Ils sont bien sûr libres de décider où ils veulent aller. Mais la Pologne ne veut pas les perdre, déclare-t-il. Ce sont les meilleurs, des jeunes gens ouverts, inventifs, qui ont eu une expérience, ont démarré leur vie ici et appris l’anglais. » Pour ne pas perdre pied avec le pays et faciliter un éventuel retour, Varsovie finance à travers l’Irlande 12 écoles offrant aux enfants, pendant les fins de semaine, des enseignements reprenant le programme scolaire polonais.

« Certains partent parce qu’ils ont atteint leur but. Ils se disent “je n’ai pas besoin d’être là” », observe le P. Jaroslaw Maszkiewicz, coordonnateur de la communauté catholique polonaise en Irlande et l’un des 30 prêtres polonais sur l’île. « L’entente est amicale avec les Irlandais. Nos deux pays sont des terres d’émigration et ont connu la persécution. On se comprend bien là-dessus. Mais parler d’intégration serait trop fort », estime-t-il.

Les Polonais gardent bonne presse en Irlande
Depuis la récession, « beaucoup attendent, constate-t-il depuis sa paroisse de l’église Saint-Ouen à Dublin. La Pologne n’est pas en meilleure situation. Ils ne savent pas vers où aller. » Certains sont partis tenter leur chance en Australie ou au Canada. D’autres sur les chantiers londoniens des Jeux olympiques. La plupart patiente encore, en essayant de tenir le coup en Irlande.

À l’office dominical le mois dernier, P. Maszkiewicz a accueilli pour la première fois la présidente d’Irlande, Mary McAleese, venue donner du courage pour « venir à bout de ces temps durs, ensemble ».

Les Polonais gardent bonne presse en Irlande, qui les juge créateurs de richesses, d’emplois. Les jeunes, sortis du travail, ont monté des expositions de peinture, de photos, des pièces de théâtre ou formé un groupe de musique.

La communauté polonaise n’est pas recluse dans un quartier mais dispersée dans Dublin et le reste du pays. À côté d’une jeunesse irlandaise jugée en « désarroi », selon un diplomate français, l’ardeur au travail, la débrouillardise, la bonne humeur tout comme la « politesse exquise » des Polonais, selon le mot d’un vieux Dublinois, sont très appréciés.

«La récession irlandaise préférable à la prospérité polonaise»
Certains Polonais découvrent, eux, les mauvaises manières d’employeurs irlandais. Dans le bureau voisin du presbytère de Saint-Ouen, l’avocat polonais Krystian Boino est saisi par ses compatriotes, « virés sans droits, sans toucher leur dernier salaire ».

Tout employeur ayant embauché une personne pendant au moins deux ans doit lui verser l’équivalent de deux semaines de salaire par année effectuée. « En pratique, cela revient souvent à cinq semaines de salaire à récupérer », défend le juriste. Il traite aussi le cas de Polonais « qui découvrent qu’ils n’étaient pas déclarés ».

L’agence Money Expert est aussi sollicitée pour de telles affaires. Comme ce jeune Polonais dans l’imprimerie furieux d’avoir formé un Irlandais, qui dorénavant le remplace. Mais, hormis ces contentieux, les Polonais demeurés en Irlande arrivent à faire valoir leurs droits au chômage, à la formation et à une aide au logement. « Mis bout à bout, cela leur fait souvent 1 200 € par mois. De quoi tenir », estime Anna Pas, rédactrice en chef du magazine Polski Express à Dublin.

Comme le résume un slogan circulant sur les sites Internet polonais locaux : « La récession irlandaise reste préférable à la prospérité polonaise. » Plusieurs se renseignent pour monter leur propre entreprise, en Irlande ou ailleurs. « Le barman d’un pub, un jeune Polonais de 29 ans, suit maintenant une formation payée à Dublin en “business management”, raconte Anna Pas. Et il s’aperçoit qu’un tiers de la classe est polonais ! »
Sébastien MAILLARD, à Dublin


http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2366677&rubId=50650

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Message  Invité Dim 8 Mar - 21:47

C'est quoi tes copier coller , tu lis ou tu colles ?
Cela veut dire quoi de mélanger l'assassinat de soldats Anglais en Irlande du Nord par l'IRA Historique et ensuite coller un post sur les Polonais et la crise en Irlande du Sud .
Faut pas tout mélanger ! Un peu de sérieux.

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Message  Invité Dim 8 Mar - 21:53

je me demande si cette crise qui met des gens dans la précarité ne relance pas la guerre Catho-protestant ! on peut éventuellement croire que la prospérité mettait les gens en confiance , apaisés , plus centrés sur leur réussite que sur la haine de l'autre.
j'ai encore le droit de me poser des questions là dessus et les partager ici .

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Message  Invité Dim 8 Mar - 21:55

franline a écrit:je me demande si cette crise qui met des gens dans la précarité ne relance pas la guerre Catho-protestant ! on peut éventuellement croire que la prospérité mettait les gens en confiance , apaisés , plus centrés sur leur réussite que sur la haine de l'autre.
j'ai encore le droit de me poser des questions là dessus et les partager ici .
Oui et l'Eire et l'Irlande du nord sont un seul et même pays. Rolling Eyes Franchement. Pose toi surtout les bonnes questions.

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Message  Invité Dim 8 Mar - 22:03

on sait bien que l'Irlande du nord est encore plus touchée ; le taux de chômage a Belfast frôle les 50% en temps normal mais avec cette crise , ça attise les vieux démons , qu'on le veuille ou non !
http://fr.encarta.msn.com/text_761571415___11/Irlande_du_Nord.html
Irlande du Nord" Encyclopédie Microsoft®️ Encarta®️ en ligne 2008
. Économie

L’économie d’Irlande du Nord, qui repose sur l’agriculture et sur l’industrie, est gravement fragilisée par l’éloignement, l’insularité et les troubles politiques. L’Irlande du Nord donne l’image aujourd’hui d’un espace périphérique d’une relative pauvreté au sein de l’espace économique de la Grande-Bretagne et de l’Union européenne. Les indicateurs sociaux et économiques soulignent le retard de la région : revenu par habitant moindre, forte ruralité, taux de chômage élevé (proche de 50 p. 100 dans certains quartiers de Belfast). Les affrontements entre les communautés protestantes et catholiques contribuent à compromettre son développement. L’Irlande du Nord est aujourd’hui une zone assistée. Elle est l’un des bénéficiaires prioritaires de la politique d’aide au développement régional instaurée par l’Union européenne.
1. Agriculture et pêche

Les petites exploitations dominent en Irlande du Nord. Elles associent l’élevage et les cultures fourragères. Les principales cultures du pays sont la pomme de terre, l’orge, le foin, l’avoine, le navet, la pomme et la poire. L’épidémie de fièvre aphteuse survenue au début de l’année 2001 porte un coup très dur à l’élevage nord-irlandais, qui se voit mis sous embargo par l’Union européenne.

La pêche en mer est concentrée sur le littoral oriental, principalement au large de Newcastle ; on y pêche le merlan, le hareng et la coquille Saint-Jacques. La pêche en eau douce est également importante dans le lough Neagh, le lough Erne et l’Erne supérieure (saumons, truites, powans).
2. Industries

L’activité industrielle entre pour beaucoup dans le produit national. L’industrie et le bâtiment emploient environ un cinquième des actifs. Les industries traditionnelles d’Irlande du Nord sont le textile (draperies, cotonnades) et l’habillement, la métallurgie, les constructions navale et aéronautique. Les grands chantiers navals se trouvent à Belfast. Les autres productions concernent les machines textiles, les industries d’équipement électrique et électronique, l’agroalimentaire, les spiritueux, l’industrie chimique.
3. Commerce extérieur

Près de 80 p. 100 du commerce extérieur nord-irlandais se fait avec la Grande-Bretagne, et la devise britannique est la monnaie légale d’Irlande du Nord. Une grande partie des exportations vers la Grande-Bretagne est ensuite réexportée à l’étranger. L’Irlande du Nord exporte toiles, textiles, confection, machines diverses et denrées alimentaires (viande, pommes de terre, produits laitiers).

et comme la Grande-Bretagne souffre de la crise ....
Rolling Eyes

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Message  Invité Dim 8 Mar - 22:15

Tu en a mis un temps avant de répondre. Laughing
Bravo, L'Irlande du Nord ce n'est pas l'Irlande du Sud. Tu auras au moins appris quelque chose ce soir.

Le rattrapage aux branches est encore et comme toujours aussi pathétique.
Mais bon, explique nous la suite, la crise en Irlande du Sud, ( ton premier copier coller ) provoque des remous de l'IRA historique ( Irlande ) vers l'Irlande du Nord ( attention conflit ancien , tu sais ?) puis , comment tu dis ? AH OUI, c'est aussi la crise en Angleterre , donc tu te contredis aucun lien ? Ouahh , balaise. cheers Tu t'enfonces. clown

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Message  Invité Dim 8 Mar - 22:22

je ne suis pas ignarde David , te propos déplacées tu te les gardes ! je cherchais a te prouver que l'Irlande du Nord est dépendante de la Grande-Bretagne ! ce que j'ai fait !
Quand à l'Irlande du Sud , elle est touchée elle aussi !

Sinon, pour revenir à l'Irlande du Nord ... des projets ont été mis en oeuvre pour améliorer le contexte économique http://ec.europa.eu/regional_policy/interreg3/doc/pdf/ir-uk_fr.pdf mais il semble dans les faits , que cela n'apporte pas les effets escomptés .

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Message  Invité Dim 8 Mar - 22:40

voila pourquoi j'ai mixé les trois !


.......

3.3 L’accord de 1998 sur l’avenir de l’Ulster

Dans le but d’instaurer des réformes jugées nécessaires dans les institutions britanniques, le parlement de Wesminster a adopté la Loi sur l'Irlande du Nord (la Northhern Ireland Act de 1998) destinée à redonner à l’Irlande du Nord son autonomie politique perdue. Le 10 avril 1998, à Belfast, un accord politique d’une importance capitale a été conclu sur l’avenir de l’Ulster. Cet accord, appelé l’accord de Belfast (The Belfast Agreement 1998) et qui a permis de bâtir un triangle de coopération inédite entre Belfast, Dublin, et Londres, lie non seulement le Royaume-Uni et les partis politiques d’Irlande du Nord, mais aussi la république d’Irlande.

L’accord prévoyait, dès février 1999, le rétablissement du parlement de l’Irlande du Nord réunissant pour la première fois loyalistes protestants et catholiques irlandais. Il prévoyait également la création du Conseil Nord-Sud pour développer des politiques communes entre les deux Irlandes, la création du Conseil Est-Ouest réunissant des représentants du Parlement britannique, du nouveau Parlement écossais et du nouveau Parlement nord-irlandais. En outre, l’accord qui, rappelons-le, lie aussi la république d’Irlande, prévoyait que celle-ci accepte de modifier sa constitution afin de ne plus formuler des revendications territoriales sur l’Irlande du Nord; néanmoins, la Grande-Bretagne ne s'opposerait pas à l'union entre le nord (Irlande du Nord) et le sud de l'Irlande (république d’Irlande), si telle était la volonté de la majorité de tous les Irlandais en Ulster, catholiques comme protestants. Sur le plan de la langue, Londres s’engageait même à promouvoir la langue irlandaise là où les Irlandais du Nord (surtout catholiques) le désirent, c’est-à-dire dans l’enseignement, les arts et la culture, les médias, l’usage tant public que privé, et à militer contre tout ce qui peut en restreindre l’emploi.

Lors du référendum de mai 1998, les Irlandais du Nord ont approuvé l’accord de Belfast dans une proportion de 71,1 %, les Irlandais du Sud, 94,4 %. De son côté, l’IRA, l’Armée républicaine irlandaise, a fait savoir par voie de communiqué qu’elle ne rendrait pas les armes. Or, la question du désarmement de l’IRA a toujours bloqué l’avancée du processus de paix. L'accord de paix accorde un délai de deux ans aux paramilitaires pour restituer l'intégralité de leur arsenal.....

http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/Europe/irlandenord.htm

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Message  Invité Lun 9 Mar - 17:49

COMMUNIQUÉ DE PRESSE n° 40/2008 Le 24 avril 2008


L'Irlande du Nord dit "Merci l'Europe"

Des responsables politiques de premier plan d'Irlande du Nord et de la République d'Irlande se rassembleront près de Belfast le 28 avril 2008 afin de rendre hommage à l'Union européenne pour son soutien au processus de paix, à l'occasion d'une conférence organisée par le Comité économique et social européen (CESE).

Au cours d'une "cérémonie de reconnaissance", prévue pour coïncider avec des manifestations marquant les réalisations politiques significatives effectuées en Irlande du Nord au cours de la dernière décennie, d'anciens responsables européens seront remerciés pour leur rôle dans le programme PEACE de l'Union européenne et dans le Fonds international pour l'Irlande, représentant une contribution européenne combinée de plus de 1,5 milliards d'euros pour la paix et la réconciliation dans la région. Seront notamment présents l'ancienne commissaire européenne en charge de la politique régionale, Monika Wulf-Mathies, qui exerce aujourd'hui des fonctions de direction au sein de Deutsche Post, et Carlo Trojan, ancien Secrétaire général de la Commission, qui a présidé la première task-force de l'UE pour l'Irlande du Nord (PEACE).

Organisée par le CESE, qui exerce la fonction de pont entre la société civile et les institutions européennes, cette manifestation aura lieu à l'Assembly Hall de l'Université d'Ulster, le 28 avril 2008. La vice-présidente Jillian van Turnhout représentera le CESE.

La session de l'après-midi prendra la forme d'une conférence consultative au cours de laquelle les bénéficiaires de fonds européens d'Irlande du Nord et des comtés frontaliers de la République d'Irlande donneront, avec d'autres acteurs concernés, des éléments sur "Le rôle de l'Union européenne dans le processus de paix d'Irlande du Nord", thème d'un avis d'initiative en cours d'élaboration par un sous-comité du CESE (président: Henri Malosse, rapporteuse: Jane Morrice).

L'objectif de l'avis est de retracer les étapes de l'histoire relativement peu connue du soutien de l'UE à cette région et d'élaborer une "boîte à outils" des enseignements tirés de l'approche européenne de la résolution des conflits en Irlande du Nord pour les utiliser, le cas échéant, dans d'autres zones de conflits. Cet avis, qui doit être achevé à l'automne 2008, s'articulera avec d'autres initiatives du Parlement européen et de la nouvelle task-force sur l'Irlande du Nord de la Commission européenne, qui a présenté ses conclusions la semaine dernière à Belfast, de manière à créer un point de référence pour les relations futures entre l'UE et une partie de son territoire qui est en train de devenir historique.

Note à l'attention des journalistes

La "cérémonie de reconnaissance" aura lieu lundi 28 avril de 9 heures 30 à 11 heures 30 dans l'Assembly Hall de l'Université d'Ulster, campus de Jordanstown. La "conférence de consultation" aura lieu au même endroit de 13 heures 30 à 17 heures.

Monika Wulf-Mathies, dirigeante exécutive de Deutsche Post, et Henri Malosse, Président du groupe des Employeurs au CESE, seront disponibles pour des interviews à l'Europa Hotel le dimanche 27 avril 2008 au soir, à partir de 20 heures. Carlo Trojan, ancien chef de la task-force PEACE, sera disponible pour des interviews le lundi matin entre 8 heures et 9 heures, de même que Monika Wulf-Mathies et Henri Malosse.

http://eesc.europa.eu/activities/press/cp/docs/2008/communique-presse-eesc-040-2008-FR.doc

il est utile de constater que la république d' Irlande ne semble pas se sentir étrangère à l'Irlande du Nord et que le processus de paix engagé même s'il est fragile encore , permet des rapprochements entre les deux Ilrande.



L’Irlande nouvelle, entre décollage économique et pacification politique.

Il y a dix ans, le 10 avril 1998, étaient signés - à Belfast - les accords de paix nord-irlandais dits « Accords du Vendredi Saint » mettant fin à trente années de guerre civile. Des accords de paix plusieurs fois suspendu depuis lors… mais à nouveau remis à l’ordre du jour en novembre 2006. Depuis lors, le décollage économique de l’Irlande n’en finit pas d’étonner…
Quoi qu’il en soit, donc - en ce 10 avril - voilà bien un anniversaire à célébrer pour la verte Erin. Et, pour nous, l’occasion de revenir - à plus d’un titre - sur la place particulière qu’occupe aujourd’hui cette Irlande, pacifiée et économiquement dynamique, dans notre Europe nouvelle actuellement en voie de construction.

Mettant fin à, depuis les « Northern Troubles » de 1969, trois décennies de conflit et de guérilla urbaine [1] entre militants nationalistes irlandais [2] et loyalistes britanniques [3], les accords de Belfast du 10 avril 1998 (dits « Accords du vendredi saint ») dressaient les contours d’un nouveau cadre politique fixant les modalités d’un pouvoir enfin pacifiquement partagé, en Irlande du Nord, entre irlandais « ethniques » (ou se prétendant tels…) et lointains descendants des colons britanniques.

Principales modalités de cet accord de paix : le désarmement des factions et milices paramilitaires, la création d’un Parlement autonome véritablement représentatif (élu à la proportionnelle) et la mise en place d’un gouvernement provincial autonome, responsable de l’administration de la province dans tous les domaines sauf ceux restant confiés aux autorités britanniques de Londres (justice, police, défense et affaires étrangères) ; un gouvernement bi-partite et d’union regroupant aussi bien « unionistes » britanniques (dits « protestants ») [4] que « républicains » irlandais (dits « catholiques ») [5].
Vers une fédéralisation de l’espace britannique ?

Mais, en dehors de la mise en place de ces institutions démocratiques en Irlande du nord instaurant un partage des pouvoirs entre nationalistes et unionistes, il ne faut pas oublier que l’ « Accord du Vendredi Saint » propose également la mise en place d’un « Conseil ministériel transfrontalier » : « axe institutionnel » inter-irlandais ayant pour mission - sous la responsabilité des PM de Dublin et de Belfast - de développer la coopération entre les deux gouvernements irlandais (et de coordonner leurs actions économiques et sociales sur des « questions jugées d’intérêt mutuel » ; comme l’agriculture, les transports, l’éducation et la santé).

De même, il faut également rappeler qu’un volet de cet accord présente également des aspects internationaux (voire supranationaux) novateurs : notamment avec la mise en place d’un « Conseil des Iles (irlando-britanniques) » et la création d’une « Conférence Intergouvernementale irlando-britannique » constituée de représentants des gouvernements britannique et irlandais (ainsi que des représentants des institutions autonomes d’Irlande du Nord, d’Ecosse et du pays de Galles…).

Et on notera que ces nouveaux dispositifs institutionnels intègrent les récentes mesures d’autonomie concédées, ces dernières années, par la Couronne britannique non seulement à l’Irlande du Nord mais également à toutes les nations périphériques de l’archipel britannique (comme l’Ecosse et le pays de Galles). Et ce, dans une perspective de décentralisation multi-directionnelle de tous les territoires d’un Royaume-Uni désormais réorganisé autour des principes d’ « unité dans la diversité » et de « respect des autonomies locales ».

En l’occurrence, que de chemin parcouru par ce Royaume-Uni (et qu’on dit si souvent culturellement imperméable aux principes mêmes du fédéralisme…) depuis le projet de « Home Rule » irlandais de la fin du XIXe siècle ! Et étonnant pied de nez de l’histoire que de voir l’espace britannique, administrativement centralisé par tradition politique, ainsi converti aux principes et méthodes du fédéralisme grâce aux anciens « rebelles » irlandais. Mais ce n’est pas là la seule leçon positive que nous pouvons retirer de l’expérience irlandaise récente…

En effet, depuis son accession à l’indépendance pleine et entière - il y a environ un demi-siècle (le 18 avril 1949) - la République d’Irlande n’a cessé de se transformer : passant de la situation inconfortable de pays pauvre et très agraire à la position beaucoup plus enviée de pays désormais cité comme exemple pour son économie dynamique et pour sa très forte croissance.
La prospérité économique, notamment grâce à l’Europe

La république d’Irlande n’a certes guère aujourd’hui que 3.7 millions d’habitants et elle représente actuellement sans doute moins de 1% de la population de l’UE 27 ; mais aucun autre pays n’a connu, lors du dernier quart de siècle, une croissance économique aussi rapide et un développement social aussi exemplaire. Au point d’être même surnommée « petit Dragon de l’Occident » ou encore « Tigre celtique ».


Déjà rapide dans les années 1960 (avec un taux de croissance annuel du PIB d’environ 5% déjà), le rythme de développement de l’Irlande a connu une très forte accélération avec l’entrée de la république dans le marché commun (en 1972) et il s’est à nouveau accéléré au tout début des années 1990, et plus encore au cours des dix dernières années (avec un taux annuel de croissance du PIB d’environ 10%).

Ainsi, l’économie irlandaise s’est modifiée de façon très rapide et étonnante, au point de se situer (en 2001) au 2e rang européen pour le PIB par habitants (Nb : elle était déjà 6e en 1998…). Premier pays « intégralement pauvre » [6] à être entré dans la CEE, l’Eire est aujourd’hui un pays où l’économie, tout particulièrement dynamique, est désormais dominée par les services (représentant aujourd’hui 65% de la population active, l’industrie regroupant moins de 30% et l’agriculture environ 10%).

On ne sait jusqu’à quel point cette réussite économique « irlandaise » sera durable, mais elle est aujourd’hui évidente et incontestable. Et créée une Irlande nouvelle. Mais on peut souligner l’influence très positive et véritablement incontestable de l’intégration européenne dans le développement économique de l’Irlande.

Certes, depuis le milieu des années 1950 (et sous l’impulsion du très « modernisateur » premier ministre Seán Lemass [7] et sous l’influence de l’économiste Ken Whitaker) l’Irlande encore agraire s’était déjà - grâce à un vaste « programme d’expansion économique » - donnée les bases d’une économie plus solide et plus diversifiée : avec notamment plus de poids pour l’industrie, le commerce et les transports.

Mais les bénéfices tirés de l’entrée dans la CEE (CEE à laquelle le PM Seann Lemass avait posé la « candidature pour adhésion » de l’Irlande dès 1961…) auront tout de même été tout particulièrement décisifs : se traduisant par l’octroi d’aides économiques substantielles. Notamment dans le cadre de la PAC. Bénéfices bientôt décuplés par une excellente gestion - par les autorités de Dublin - de ces nouvelles ressources (intelligemment investies dans le développement de l’informatique et des services).
Ce que l’Histoire a séparé, l’économie le réunit…

Quoi qu’il en soit, dix ans après les « Accords de paix du Vendredi saint », l’Irlande d’aujourd’hui connaît une embellie économique encore inimaginable à l’époque [8]. Des progrès politiques et économiques indéniables et significatifs qui réunissent et soudent - à nouveau - ces deux parties de l’Irlande séparées par l’histoire ; comme une illustration « insulaire » de cette fameuse méthode d’intégration par l’économie qui - sur le continent européen, depuis au moins les années 1950 - semble avoir enfin banni la guerre des relations internationales.

Ainsi, en signant les accords de paix du 10 avril 1998, la république d’Irlande (l’Eire) renonçait alors formellement à sa revendication territoriale historique (et irrédentiste) sur les six comtés « britanniques » d’Irlande du nord. Or, depuis dix ans (et depuis la fin des troubles), les échanges économiques n’ont cessé de s’intensifier entre les deux « Etats » irlandais. Si bien qu’un véritable « corridor » économique « Nord / Sud » semble s’être constitué entre Dublin et Belfast, formant ainsi une connurbation d’environ deux millions d’habitants réunissant les centres économiques de Drogheda et Dundalk (au Sud), Newry, Banbridge et Lisburn (au Nord).

Ces progrès économiques s’appuyant essentiellement sur les capitaux venus du Sud, l’injection massive d’argent public (souvent d’origine communautaire) dans l’économie locale et la mise en place d’une fiscalité « préférentielle » favorable à l’enracinement sur place d’entreprises travaillant sur des productions à forte valeur ajoutée. Des progrès économiques qui restent néanmoins à la merci de tensions communautaires encore vives : à la merci de la violence latente de quelques groupes extrémistes et sectaires.

Pourtant, les ennemis d’hier (i. e : le PM nord-irlandais Ian Paisley - leader loyaliste britannique - et son vice-premier ministre, Martin McGuinness : catholique irlandais et ancien de l’IRA…) gouvernent aujourd’hui - ensemble - à Belfast. Et la rhétorique guerrière semble y avoir enfin cédé la place à l’esprit de coopération entre nords-irlandais de deux communautés, entre irlandais des deux côtés de la « frontière », ainsi qu’entre irlandais et britanniques.


Alors, s’agit-il là - après trente ans d’atrocités, d’actes terroristes et de crimes politiques divers et variés - des tous premiers pas - incertains mais au combien significatifs - vers une Irlande enfin réunie et vers une nouvelle Eire de paix ?! A voir…

http://www.taurillon.org/L-Irlande-nouvelle-entre-decollage-economique-et-pacification-politique

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Message  Invité Lun 9 Mar - 18:43


Je ne suis pas ignarde David , te propos déplacées tu te les gardes ! je cherchais a te prouver que l'Irlande du Nord est dépendante de la Grande-Bretagne ! ce que j'ai fait !

Forcément, comme l'Irlande du Nord n'est pas un Etat, c'est le Royaume-uni. Laughing

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Message  Invité Lun 9 Mar - 18:58

elle en fait partie qu'en partie .... tu devrais lire les infos que j'ai mis et ils te démontreront que l'Irlande du Nord coopère plus avec la République d'Irlande en MATIERE ECONOMIQUE d'où mon post sur l'immigration puisque c'est lié à l'économie et au social !

la grande-bretagne ne s'occupe plus que de la défense ,police , justice , affaires étrangères.
sinon, l'Irlande du Nord a pour "client" à 80% la grande-bretagne .... en gros elle fournis le royaume-uni mais fait son économie avec la RI .

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Message  Invité Lun 9 Mar - 19:35

C'est quoi pour toi la Grande - Bretagne ?

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Message  Invité Lun 9 Mar - 20:18

pourquoi cette question ? si ce n'est me faire dire qu'effectivement en terme de territoire l'Irlande du Nord en fait partie , pour autant des accords ont été signés et l'Irlande du Nord n'a plus en commun que la défense , la police , les affaires étrangères et la justice (normal puisqu'elle fait partie de la GB) mais économiquement parlant c'est avec la République d'Irlande qu'elle fait des affaires ! qu'elle gère le social , le travail donc , l'immigration....d'où mon post sur les polonais en Irlande .

en fait l'Ilrande du Nord fait partie du Royaume-Uni ....la Grande-Bretagne comprenant le Pays de Galles , l'Écosse et l'Angleterre uniquement.

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Message  Invité Lun 9 Mar - 20:37

un petit détail encore...
L'équipe irlandaise de rugby, qui comprend la République d'Irlande et l'Irlande du Nord, utilise un hymne spécialement composé, Ireland's Call, mais on chante aussi l'hymne national de la République, Amhrán na bhFiann, quand on joue à Dublin.

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Message  Invité Lun 9 Mar - 20:38

franline a écrit:pourquoi cette question ? si ce n'est me faire dire qu'effectivement en terme de territoire l'Irlande du Nord en fait partie , pour autant des accords ont été signés et l'Irlande du Nord n'a plus en commun que la défense , la police , les affaires étrangères et la justice (normal puisqu'elle fait partie de la GB) mais économiquement parlant c'est avec la République d'Irlande qu'elle fait des affaires ! qu'elle gère le social , le travail donc , l'immigration....d'où mon post sur les polonais en Irlande .

en fait l'Ilrande du Nord fait partie du Royaume-Uni ....la Grande-Bretagne comprenant le Pays de Galles , l'Écosse et l'Angleterre uniquement.

Je crois qu'un petite relecture s'impose... Laughing
Oulala.
Elle ( l'Irlande du Nord ) gère le social avec l'Eire ? Donc les Polonais installés dans ce Pays ? Explique moi cela, c'est marqué où dans ton premier copié collé ? .Oulala.
Comme je le disais tu mélanges tout. Et ça vient ensuite faire quoi dans tout ce fouilli , l'attentat.
Shocked

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Message  Invité Lun 9 Mar - 20:48

les attentats sont le fait d'extrèmistes qui profitent d'une situation économique misérable dûe à la crise mondiale .
et oui , l'Irlande du Nord fait partie du Royaume-Uni qui comprend aussi le Pays de Galles , l'Ecosse et l'Angleterre ....ces trois derniers sont la Grande-Bretagne. Rolling Eyes

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Message  Invité Lun 9 Mar - 20:57

franline a écrit:
les attentats sont le fait d'extrèmistes qui profitent d'une situation économique misérable dûe à la crise mondiale .
et oui , l'Irlande du Nord fait partie du Royaume-Uni qui comprend aussi le Pays de Galles , l'Ecosse et l'Angleterre ....ces trois derniers sont la Grande-Bretagne. Rolling Eyes

Relis ton post précédent alors. Laughing



les attentats sont le fait d'extrèmistes qui profitent d'une situation économique misérable dûe à la crise mondiale .
Qui veut répondre ? Cela fait plus d'un an et demi qu'il y a un regain de tension en Irlande du Nord.C'est peut être la faute des 35 heures aussi. Je m'arrête là... pale

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Message  Invité Lun 9 Mar - 21:30

tout le monde sait que lorsqu'il y a des problèmes socio-économiques les extrèmes en profitent !
qu'il y ait des regains de tentions ; il y en aura toujours mais de là a passer à l'acte il faut des gens dans le besoin pour motiver la violence .....

tu me demandais ce qu'est la Grande-Bretagne et je te réponds : en fait l'Ilrande du Nord fait partie du Royaume-Uni ....la Grande-Bretagne comprenant le Pays de Galles , l'Écosse et l'Angleterre uniquement. je pense que c'est toi qui t'es trompé ... peut-être as tu voullu parler du royaume-uni ? ... mais vois-tu moi je ne me fous pas de ta gueule pour autant , je sais me retenir.

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Message  Invité Lun 9 Mar - 22:01

franline a écrit:tout le monde sait que lorsqu'il y a des problèmes socio-économiques les extrèmes en profitent !
qu'il y ait des regains de tentions ; il y en aura toujours mais de là a passer à l'acte il faut des gens dans le besoin pour motiver la violence .....

tu me demandais ce qu'est la Grande-Bretagne et je te réponds : en fait l'Ilrande du Nord fait partie du Royaume-Uni ....la Grande-Bretagne comprenant le Pays de Galles , l'Écosse et l'Angleterre uniquement. je pense que c'est toi qui t'es trompé ... peut-être as tu voullu parler du royaume-uni ? ... ma
is vois-tu moi je ne me fous pas de ta gueule pour autant , je sais me retenir.

Quand on dit n'importe quoi et qu'on ne connait pas le sujet, ou qu'on pense au départ que l'Irlande du Nord est un Etat à part entière, on assume et on accepte, ensuite les commentaires des autres.
Dans le même post par exemple, pour mémoire, tout et son contraire, le pire on le surligne et tu ne le vois même pas !






normal puisqu'elle* fait partie de la GB
puis dans le même commentaire

la Grande-Bretagne comprenant le Pays de Galles , l'Écosse et l'Angleterre uniquement

* Irlande du Nord dans le post

Ensuite tu n as pas répondu , sur le lien social Eire - Irlande du Nord ?
Les polonais d'Eire et le lien avec l'attentat ? Rolling Eyes

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Message  Invité Lun 9 Mar - 22:25

je n'ai jamais dit que l'Irlande du Nord ne faisait pas partie du Royaume-Uni ! mais bon , tu aimes bien faire passer les gens pour des cons alors je te laisse a ta connerie !

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